[Lieu] Armurerie

L'armurerie du village de Kiri a été installée au rez-de-chaussée d’un grand bâtiment. On trouve à l’intérieur des centaines d’armes différentes mais aussi une salle d’entrainement et de démonstration. Le marchand est un vieux ninja d’une cinquantaine d’année, assez bourru, mais très sympathique. Passez votre commande et il vous fournira au plus vite. Les plus petites armes se trouvent en vitrine, tandis que les plus grosses sont fixées au mur derrière le comptoir.

Pour les tarifs, c’est en Bleu par Ici

Le jeune Jounin sortait juste de sa nouvelle baraque. Avec son porte-monnaie, étonnant. Il sautait de toits en toits, ne connaissant pas bien le village il avait besoin d'une vue d'ensemble pour se repérer un temps soit peu. Finalement il trouva son bonheur, l'armurerie. Son voyage l'avait changé, et il n'avait plus les mêmes envies. Et aujourd'hui sonnait l'achat de nouvelles trouvailles et l'annihilation physique de toutes ses conquêtes konohiennes : ses Ryos ! Il descendit donc de son toit, et marcha calmement jusqu'au marchand, sans sortir ni même regardé la poche intérieure de sa veste qui contenait son porte-monnaie.

" Ohayo ! "

" Salut jeune homme, quel bon vent t'amène ? "

" Rien de bien diplomatique ma foi... Je désirerai un Katana, une nouvelle Fourrure, ocre s'il vous plaît, un fourreau et une nouvelle ceinture en corde. "

Le marchand passa la commande, on entendit retentir deux : "oui c'est prêt dans une minute" pratiquement simultané.

" Ca vient, ça vient. Dis-moi, je ne t'avais jamais vu par ici. Tu es shinobi depuis longtemps ? "

* Ce n'est pas à moi de lui parler de cette histoire. *

" Trois ans maintenant, oui. Habituellement je m'approvisionnais par un ami que vous devez connaître ; mais aujourd'hui je passais par là, alors. "

" Très bien ! Tien, voilà l'matos'. " Les jeunes hommes chargés de préparer l'équipement avait fini juste à temps, avant que les questions plus embarrassantes n'arrivent.

" Merci monsieur ! Combien j'vous dois ? "

" 1750 Ryos. Jeune homme. "

Idame les déposa sur la table, et se retourna vers ses quartiers. Les deux hommes échangèrent deux faux sourires : Idame était mal à l'aise.

Katana + Fourreau + Ceinture + Fourrure - 1750 Ryos

Airô arriva tranquillement devant l'armurerie à l'enseigne significative des marchandises vendues. Il poussa la porte et fit sonner la clochette de celle-ci réveillant un homme qui dormat assis sur sa chaise derrière un comptoir.

"Bien le bonjour chez vous !"

Le vieil homme encore un peu endormit répondie d'une voix rauque, la bouche pâteuse, un oeil à demi ouvert.

"SAAAAAAAAAAlut(*baille*)! Quel bon vent vous amène ? Je suppose que c'est pas pour de la dEEEEEEEEntelle(*baille*). Je vous laisse faire votre choix."

Airô aquiesca de la tête et fit un petit tour de l'échoppe, observant les objets en vitrine. Il vit alors quelques sembons présnetés sous une lumière vive en plein mileiu de l'armoire vitrée il demanda alors au vieil homme de venir lui ouvrir.

"Ces sembons m'ont l'air bien, je vais en prendre six"

Se soulevant tranquillement de sa chaise, il vint ouvrir la vitrine tout en se grattant ses cheveux ébourrifé.

"T'as raison, les sembons c'est larme des kirisiens. Je vois que tu est fidèle à tes origines mon gars ! C'est bien !."

S'apprêtant à refermé la vitrine après avoir pris les sembons, il s'arrêta quelques secondes.

"Quelque chose d'autre te fait envie avant que je referme ?"

Airô observant brièvement stoppa son regard sur des gantelets cloutés qui donnait vraiment l'impression d'être efficace autant que joli.

"Ben...Je crois que ces gants seraient pas mal sur moi. En plus ils ont l'air d'être bien acérés."

"Allons-y pour cette paire de gant. Tu veux encire autre chose ou ses articles te suffiront à écraser les iwaiens de malheur ?!"

"Non merci c'est bon je crois".

Refremant la vitrine, le marchand se dirigea d'un pas lourd vers ke comptoir pour encaisser les deux articles mais Airô le stoppa juste avant qu'il s'effectu.

"Attendez quelques secondes, je crois que ce parapluie serait parfait avec mes sembons."

Le vieil homme se retourna et observa quelqes temps le parapluie, puis posa à nouveau son regard sur Airô et revînt au parapluie.

"Ouai...Il t'irait pas mal je pense. Si c'est tout et bien ça te feras 600 ryos."

Posant son argent surement gagner sur la table, Airô prit ses nouvelles armes à la main.

"Ok voilà, le compte y est. Je vous remerci et vous dis à une prochaine fois peut-être"

"Je l'espère bien mon gars !"

Airô s'en alla de l'armurerie, un parapluie, six sembons et des gants cloutés à la main.

[ six sembons + un parapluie + des gants cloutés = 600 ryos ]

Idame passait rapidement, juste avant un entraînement avec Kirue. Il venait de recevoir sa paye de l'académie. Chinizu s'était montrée généreuse sur ce coup-ci. Il était bien décidé.

" Ohayo ! "

" Tiens, Idame, c'est cela ? "

" Ouaip ! "

" Permets moi de te présenter ces nouvelles sandales d'entraînement. Elles servent à perfectionner ta vitesse et ajuster les quelques lacunes musculaires de certaines mouvements d'esquives. C'est un véritable bijoux ! "

" Non ! Vous êtes voyants ?! C'est exactement ce que je venais chercher. Je vous dois combien ? "

" Sept cent Ryos. Jeune homme, ni plus ni moins ! "

" Tenez ! Et merci ! "

Idame s'empara de sa nouvelle richesse, et quitta les lieux en direction des marais.

Sandales d'entraînements. -700 Ryos.

Dokara arriva tranquillement, pour faire ses fournitures scolaires, il souhaitait offrir à ses élèves un objet qui leur éviterai de glander pendant leurs heures perdues.

"YO! Chef ! Je viens pour les fournitures scolaires."

"Pas de problème, dis-moi ce que tu veux."

"Bah il me faudrait un Yumi avec des flèches normales, ce serait préférable... Je prendrai le lot de 20 avec le petit carquois offert."

"Ensuite... Il me faudrait... une paire de gants d'étouffement et ce sera tout."

"1550 Ryos s'te plait."

"Euh... Ouais..."

"J'ai le tarif scolaire, ils ont leur carte étudiant de l'académie, la réduction famille nombreuse et le tarif de groupe est additionnel ?"

Dokara posa sa bourse entière en rechignant légèrement et le vendeur comptabilisa la somme.

"Boh...Allez pour cette fois ça ira. Allez file et j'espère qu'il seront protégés ma boutique."

Dokara arriva précipitamment dans la boutique en s'adressant rapidement au vendeur.

"Hep !"

"Quatre notes explosives normales s'te plait ?"

Le marchand retira délicatement deux petits papiers d'un petite boîte.

"C'est ma première mission en tant que Senseï et je suis déjà en retard !"

Attrapant les deux notes, il jeta simultanément l'argent sur le comptoir et s'enfuit rapidement.

"Voilà les 1000 Ryos, merci."

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