[Topic d'arrivée] Arrivée chez les déserteurs

Invité

Voila ça fait plusieurs jours que je cherches par ou commencer, j'ai décidé donc d'ouvrir un topic d'arrivée, qui pourrait être utilisé par d'autres par la suite.

Yoruwashi arriva enfin à Shike No Kuni. On l'avait envoyer vers l'ancien village des déserteurs, mais lorsqu'il était arrivé le village avait déjà été détruit. Heureusement, ses talents de pisteur lui avait permit de suivre la piste laisser par les Ninja, menant jusque là.

Pourtant, ils avaient été remarquablement discret. Ils avaient prit soin de prendre des chemins différents, et de couvrir leur trace. Cependant, certains branche brisée, certaines trace de boues laissée, tout ça avait pu conduire l'attentif Yoruwashi.

Il avait par contre prit soin de couvrir les traces des déserteurs derrière lui, il ne voulait pas que sa nouvelle maison soit attaquée.

Il repensa au déserteur qu'il avait rencontré, alors qu'il errait ça de là, sans trop savoir ou aller.

Avoir été bannis du pays des vents, son pays, avait été quelque chose de dur à avaler, mais, il y retournerais un jours !

Imperturbable, celui qui avait autrefois un Assassin pour Suna, avança, à la recherche de quelqu'un.

Ses muscles avaient été raides après sa sortie de prison, il avait eu du mal à avancé, et les drogues qu'on l'avait obligé à boire avait fait des dommages irréversible sur ses capacités à créé une illusion. Yoruwashi était diminuer, plus faible qu'un apprenti assassin. Et c'était l'homme qui lui avait donner cette force qui lui avait finalement reprit.

L'homme était autant blesser dans son corps que dans son cœur...

Ces jours-ci les rencontres se suivaient mais ne se ressemblaient pas. Masako, perchée sur son arbre à faire le guet, ou censé le faire, regardait les nuages dans le ciel mitigé de Shike. Puis elle déchira une feuille qui était sur l’arbre et commença à l’arracher par petits bouts.

*J’aime cette vie, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout, un peu ...*

Bref elle s’amusait comme elle pouvait. Lorsqu’elle entendit quelques branches craquer. Masako se redressa doucement de son arbre et regarda autour d’elle, jusqu’à ce qu’elle aperçoive une personne. Elle continua de l’observer et arrivé en dessous de l’endroit ou se tenait la jeune femme, elle se mit a parler.

« Salut ! Que viens tu faire dans cette endroit paumé ? »

Masako était encore dans son arbre debout sur la branche. Puis elle sauta pour se retrouver face à lui.

« J’ai oublié de me présenter : Masako Misao. »

Puis elle repris sa position des bras croisé.

« Alors ? Qu’est ce qui t’amène jusqu’ici ? »

Invité

A peine arrivé qu'on l'interpelait. Il releva la tête pour apercevoir le visage d'une jolie jeune femme, qui dit s'appeler Masako Misao. Il ne répondit pas tout de suite, la jaugeant du regard. De toute évidence, il s'agissait d'une désertrice, son attitude désinvolte et enjouée pouvait s'expliquer de différentes façon... Il en faudrait un peu plus à celui qui était désormais un déserteur pour pouvoir la cerner. Mais à priori, en voyant sa façon de se tenir, et de parlé, il s'agissait d'une personne haut placé dans la hiérarchie. Il ne devait pas donner son nom complet, il était connu que la famille Nishiki étaient les maitres de Suna, et son prénomi devrait suffire à le faire repérer. Un traitre dans la famille royal de Suna, ça ne devait pas passer inaperçu...Il consentit enfin à répondre.

"Yoruwashi... J'ai entendu dire que ceux qui avait besoin d'un refuge pouvait venir par ici..."

A sa réponse, Masako le regarda, faisant disparaître peu à peu son léger sourire de bienvenue. Elle réfléchit quelques secondes avant de lui poser une série de questions, prenant son air étonné, afin qu’il ne se doute de rien pour le moment. Il n’était qu’un étranger aux yeux de la jeune femme, enfin du moins pour le moment.

« Un refuge ? Tiens ... et d’où tiens tu ces info ? Et sinon de quel village viens-tu ? Pourquoi tu n’y es pas dans ton village d’origine ? »

Le pauvre était harcelé, mais c’était le minimum qu’elle avait fait. Elle eu peur pendant un moment qu’il la prenne pour une folle avec tout ça. Si il voulait intégrer le village il fallait qu’il réponde à quelques questions, elle devait pas se faire avoir et faire entrer n’importe qui.
Elle attendit ses réponses tout en remettant ses bottes qui descendaient légèrement, une jambe après l’autre, puis se remit les bras croisé.

Invité

Et voila qui confirmait les soupçons de Yoruwashi. Il s'agissait probablement d'une personne haut placé dans la hiérarchie. Sinon elle ne passerait pas son temps à le cuisiner. Il avait jadis apprit que lorsqu'on voulait cacher des informations lors d'un interrogatoire, il suffisait de se concentré sur ce que l'ont acceptait de révélé... Yoruwashi ne répondit pas tout de suite, il mettait de l'ordre dans ses pensées... Hors de question de révélé ses origines à cette femme, son passer était loin derrière lui, et il ne voulait pas qu'il le rattrape.

"Village ? Si tu parles des villages Ninja, je ne viens d'aucun village. Quant à ce qui m'as fait fuir ma patrie, ça ne regarde que moi."

Il espérait que cette réponse conviendrait à la jeune femme. Il ne pouvait se résoudre à lui dire la vérité, pas plus qu'il ne pouvait se permettre de ne pas s'installer parmi ces renégats.

La jeune femme se doutait que le passé pouvait être douloureux pour certaines personnes et ne chercha pas plus loin, quand elle remarque la façon, de son interlocuteur, à contourner les questions. Elle ne voyait pas trop pourquoi continuer son interrogatoire sur ses origines, il avait dit les mots qu’elle voulait entendre et en savait assez sur lui pour le moment.

« Je comprend que tu veuilles pas m’en dire plus. Et je ne vais pas continuer à te poser des questions trop indiscrètes. »

Elle était à présent sérieuse, son visage était des plus inexpressif. Pour le moment elle voulait encore chercher quelques petites choses sur ses intentions. Rien de particulier, mais juste histoire de savoir à quoi s’attendre comme réaction de sa part s’il venait qu’à intégrer les déserteurs.

« Fuir ta patrie ... bon ... mais tu es prêt à en intégrer une autre ? Certes plus libre que les autres, et avec d’autres personnes, des nouvelles têtes, mais ça engendre aussi de repartir à zéro. »

Masako voulait être sur de la fiabilité de Yoruwashi, même si elle aurait le temps de voir ça. Elle se redressa, mis ses bras le long du corps, faisant mine de partir.

« Je suppose que tu te doute que le refuge dont tu parle est le village des déserteurs ? Tout le monde ici vient de pays différent. Moi-même je viens de Kiri. Si tu te sens d’attaque pour venir, suis moi. Sinon reste ici ou trace ton chemin. »

La jeune fille débuta la marche en direction de Shike, écoutant les pas du genin, afin de savoir s’il la suivait ou non.

Invité

A vrai dire, Yoruwashi n'avait pas exactement dit la vérité... Il n'avait pas réellement fuis le pays des vents, il en avait été banni. Mais ces détails ne regardait que lui. Masako ne manquerait pas de remarquer que sa voix était particulièrement rauque. Comme si il n'avait pas l'habitude de parler. Elle ressemblait plus au grognement d'une bête féroce qu'autre chose...

"Evidemment...Des déserteurs, considéré comme des renégats dans leur propre pays, n'ayant d'autre choix que de se trouver une nouvelle maison. C'est le genre d'endroit dont j'ai besoin. Je suivrais les règles du jeu, je n'ai jamais été un tricheur."

Cependant au fur et à mesure que le nouveau membre du village parlait, il semblait que sa voix s'adoucissait.

Yoruwashi commença à marcher pour suivre Masako Misao, chaque pas lui était douloureux, ses muscles étaient encore raides... Cependant, rien dans la démarche, ni dans l'attitude de Yoruwashi ne semblait indiquer que chaque pas effectuer le faisait souffrir. Et si son visage pouvait trahir les mauvais traitements qui lui avait été infliger il n'y'avait pas encore si longtemps, il était impossible pour un observateur non avertit de remarquer les marques sur son visage, celui ci étant cacher dans cette capuche que le déserteur n'abaissait jamais. Ils avancèrent dans le village. Yoruwashi, prit la parole.

"Je viens pour ma part du pays des vents..."

NB . Yoruwashi est plus vieux que Masako et il n'est pas vraiment un Ninja. Donc le jeune Genin ne peut pas s'appliquer à lui XD

Masako savait que parler de son passé n’était pas simple et n’insista pas, ça ne regardait que lui. Ce nouveau arrivant n’avait pas l’aire d’être très exigent et le village qui était prêt à l’accueillir lui suffisait. Le chemin n’était pas très long, pour arrivé jusqu’à Shike, mais les deux jeune gens n’était pas très bavard non plus. Et puis Masako ne voulait pas trop le saouler avec ses légendaires bavardages pour rien dire. Elle savait se taire quand il le fallait, heureusement pour elle.

« Suna ! Il me semble que d’autres personnes viennent aussi de ce pays. »

Arrivé au village, elle continua un peu et s’arrêta près du bar du village, lui expliquant, en montrant du doigt, les magasins qui se trouvaient à Shike, même s’ils n’étaient pas nombreux. Cette petite restauration était surtout un endroit ou il y avait beaucoup de monde, donc le meilleur moyen pour se présenter sans parler.

« Si tu veux manger et te reposer un peu va ici. L’armurerie est juste à côté. Et si tu veux quoi que se soit, va à la grande maison là bas. On est deux à s’occuper de ce village : il y a Sendo Futago et moi-même.

As-tu besoin de quelque chose d’autre ? »

Invité

La femme lui fit visiter le village. C'était pittoresque. Les habitations n'étaient aucunement élaborée, majoritairement en bois.

Il fût surpris d'apprendre qu'il y'avait une armurerie. Peut-être y ferait-il un tour, il avait perdu toute ses armes, et sa lame secrète lui manquait cruellement.

La femme lui demanda alors si il avait besoin d'autre chose. A vrai dire, Yoruwashi avait beaucoup de question sur la vie au seins du village.

"J'ai beaucoup de question sur cette communauté. Tout d'abord, pour les habitations, vais-je devoir construire la mienne moi même ? Des outils seront-ils à ma disposition pour se faire ? Et au niveau de la nourriture ? Y'a-t'il un endroit ou je puis chasser du gibier ? Ou une rivière pour pêcher ? Dois-je partager mes ressources personnel avec le reste de la communauté, et donc m'attende ainsi à des échanges de bon procédé, ou vais-je devoir me débrouiller seul et n'attendre aucune aide ?"

Les questions étaient posée, à Masako d'y répondre...

Seiatsu était sur cet île depuis peu, il avait griffé le bandeau de Yuki no Kuni pour montré sa désertion et pourtant avant attaché, ou plutôt pendu le bandeau à sa ceinture il était donc peu aisé de le voir à cause de la cape du jeune homme…

Il avançait d’un pas sur droit devant lui, il ne savait pas réellement ou il était mais il ne se faisait pas vraiment de soucis à propos de ça, au loin il cru apercevoir deux personnes, il ne pressa pas pour autant le pas et ne ralenti pas non plus, il garda un rythme régulier et donnait l’impression d’être quelqu’un de très important.

Apres plusieurs mètre il arriva finalement devant deux personne, un homme et une femme, ils semblaient discuter mais Seiatsu n’écouter pas leur conversation par pur désintérêt à vrai dire… Il était à vue des deux personnage mais était assez éloigner, arrêter il attendais, il attendais comme si une des deux personne se devait de venir le voir. Il croisa alors les bras et regarda les personnes en face de lui, plus la femme que l’homme certes… (xD)

Plus ce dernier lui posait des questions et plus elle le regardait avec son air ahurit. Jamais elle n’avait eu à subir ça. C’était limite un supplice, mais bon fallait qu’elle si habitue : quel piètre kage ferrait elle si elle ne savait donner des réponses à la moindre interrogation qu’une personne du village lui ferrait.

*Bon il a finit la ? Pfff la prochaine fois c’est Sendo qui s’occupe des arrivants, ils posent trop de questions ! *

« J’ai cru que tu n’allais plus t’arrêter. Oui il faudra que tu construises ta propre maison. Nous venons d’aménager sur cette île, mais ne t’inquiète pas pour les outils. Pour chasser, oui il y a la forêt là-bas un peu plus loin de là où l’on était, mais tu la peu être traverser pour arriver jusqu’ici. Ce bar c’est surtout pour boire ! Pour le reste tu fais comme tu veux. Si tu trouve de l’aide c’est sur c’est mieux, mais les déserteurs ne sont pas tous des sauvages il y a bien quelqu’un qui t’aidera et pareil pour les échanges, c’est comme tu le sens. Autre chose ? »

Elle s’arrêta un moment elle commençait à en avoir marre de parler, surtout de répondre à ses questions, mais elle arriva à rester souriante sans se forcer, et à y mettre de la bonne volonté. Lorsque instinctivement elle aperçut le jeune homme qui les regardait. Elle se tourna vers lui et sans attendre lui parla.

« Qu’est ce que tu regarde comme ça ? »

Elle n’avait pas parlé sur un ton agressif, mais elle détestait qu’on la regarde de cette manière. Tout en écoutant Yoruwashi, elle ne pouvait s’empêcher de jeter des petit coups d’œil vers l’autre personne, qui continuer à les regarder. Elle laissa alors parler, celui qui venait de Suna, et après l’avoir écouter, se tourna vers ce dernier.

* Zen Masako, reste polie et courtoise, faut montrer l’exemple bordel*

Puis elle repris un ton normal, sans aucune violence au son de sa voie.

« Il te faut quelque chose ? »

Invité

Yoruwashi avait eu ses réponses. Il se débrouillerait. Apparemment Masako savait beaucoup de chose mais Yoruwashi semblait l'exaspéré. Il allait donc prendre congé là, et se mettre à la recherche d'un endroit pour poser sa nouvelle maison.

"Merci pour la petite visite guidée. Je vais me débrouiller..."

Il laissa la jeune femme en plan et partit de son côté. La recherche d'un terrain pour construire sa maison était une étape importante de sa nouvelle vie, il ne pouvait pas trop se permettre de bâcler ce travail. Et, plus tôt il commencerait plus vite il aurait un endroit ou dormir.

« Qu’est ce que tu regarde comme ça ? »

C’est comme ça que la jeune femme avait aborder Seiatsu. Le ton de la jeune fille n’avais pas été spécialement agressif mais la phrase en elle-même n’était pas forcément ce que l’on peux qualifié des plus agréable… cependant Seiatsu venait d’arrivé et cet femme était probablement quelqu’un d’important en tout cas plus que l’homme qui venait de partir d’après les quelques phrase qu’il avait pu entendre.

Il s’avança alors d’un pas sur vers la jeune femme, arrivé devant il lui prit délicatement la main pour lui faire un baise main, cependant il ne se baissa pas et porta la main de Masako vers sa bouche. Cet pratique n’était absolument pas courante la ou il vivait, et encore moins dans les villages Ninja… Mais pourquoi pas ?

« Je regarde une bien belle jeune femme, Mademoiselle. »

Ensuite la Kunoichi dit autres choses.

« Il te faut quelque chose ? »

Seiatsu n’aimait pas spécialement qu’on le tutoie directement comme elle le faisait mais elle avait l’air d’être quelqu’un d’important. Il afficha alors un leger sourire, pas narquoi du tout et répliqua.

« Vous m’accorder un souhait ? Et bien si c’est le cas j’aimerais une Reine… »

Il soupira un peu, et arrêta son sourire et repris un visage un peu plus sérieux.

« Cependant si ce n’est pas le cas tant pis, je me débrouillerais après tout si j’ai bien compris vous n’aimez pas qu’on vous pose trop de question. Par contre j’accepte toutes les information que vous pouvez me donnez… ou bien si vous désirez quelques chose… »

Masako s’avait qu’elle avait légèrement exagéré avec le nouveau venu, mais elle n’était vraiment pas faite pour accueillir. Mais tan pis, elle apprendrait ça sur le tas, comme tout le reste. Yoruwashi était donc partit et même s’il avait des questions il voyait que la jeune femme n’était pas très réceptive.

* Je mis prend comme un manche, va falloir que j’apprenne à écouter les autres. *

Mais à peine était il partit qu’un autre venez à la charge : c’était le défilé des déserteurs. Masako resta tranquille, mais elle en était limite à regretter son grade d’Anbu à Kiri. Il fallait juste qu’elle s’y habitue et si elle était là ce n’était certainement pas pour rien.

« Je regarde une bien belle jeune femme, Mademoiselle. »

« Ah bon ! Où ? »

*Oh ... mais qu’est ce qu’il me veut ?!*

Masako étonné ne savait pas vraiment quoi rétorquer, il lui parlait et elle voulait reculer et partir tout de suite loin de ce fou. Mais d’un autre côté ça la faisait bien rire, c’était la première fois aussi qu’elle entendait des compliments à son sujet, mais autant qu’elle en profite un peu, quand il la connaîtra mieux ça sera pas du tout la même, et tous ces compliments deviendront des reproches.

« Une reine ?! Et bien il y a beaucoup de femmes dans ce village cherche bien. »

Et encore une fois de plus, le « merci » n’était pas sortit de sa bouche. C’était rare qu’elle le dise d’ailleurs, même si là, elle aurait pus faire un effort. Mais ce n’était pas dans sa nature de parler ou d’exprimer clairement ce qu’elle voulait dire, comme si c’était une épreuve insurmontable qu’elle devait passer. Elle repris un ton un peu plus doux et calme, pour lui parlé, même si ça ne s’entendait pas vraiment, mais c’était le mieux qu’elle savait faire.

« Alors ? Tu veux savoir quoi ? Profite en tant que je suis encore là. »

La jeune femme ne c’était même pas présentée, Seiatsu savait déjà tout ce qu’il fallait savoir sur le village de toute façon car il avait écouter les meilleur passage de la conversation qu’elle avait eu juste avant. Et puis elle faisait l’idiote parlais peu et semblait un peu paumée dans ses pensées.

Le jeune homme soupira, il était blasé. La jeune femme était belle mais… chiante, il s’avouait quand même à lui-même qu’il la connaissait que depuis même pas cinq minutes… Il fallait peut être lui donner une chance. Et puis elle le tutoyait encore…

« C’est de vous que je parlais… hmmm Hime-sama, bref je suis Seiatsu Tanken je viens de Yuki no Kuni et j’ai quitter mon village pour construire mon pays… ce que je veux savoir… je sais déjà plusieurs chose j’ai quasiment tout entendu de votre conversation. Bref si vous voulez vraiment que je vous pose des questions… »

Il marqua un petit intermède dans ses paroles et repris ensuite, il avait prévu de poser beaucoup de question, le plus possible… Il savait que ça l’ennuyait et c’était une façon de se venger de l’accueille complètement pourris auquel il avait eu droit.

« Vous n’aimez pas qu’on vous pose un tas de question, je me trompe ? Bref je vais vous en poser un tas alors… Tout d’abord votre nom qu’elle est-il ? Ensuite d’où venez vous ? Que faite vous ici dans ce village ? Et d’ailleurs qu’elle est votre rôle ? Votre age ? hmmm… il doit bien en avoir d’autre… »

Il commença à avancer lentement, sans se préoccuper de recevoir de réponse ou pas, ni même si elle le suivrait. Son pas était assez lent, comme si il l’invitait à la promenade mais sans être clair… tout en marchant il observais le village et commençait déjà à imaginé la maison qu’il construirais.

Finalement ce jeune homme la faisait rire, elle esquissa même un petit sourire en coin. Encore une chose rare. Elle aimait bien la franchise qu’il avait et le faite qu’il n’est pas peur de lui dire. Il fallait quand même bien que quelqu’un lui dise d’arrêter un peu ses bêtises et qu’elle se mette au travail, en étant si possible un peu plus agréable. C’était chose faite à présent, fallait il encore qu’elle le fasse d’elle-même.
Mais bon l’heure était aux questions ... une chose particulièrement ... ennuyante pour Masako, mais le pire ce qu’il le savait parfaitement. Elle aurait tant voulu le d’étripé sur place, pour lui faire avalé ces questions, mais elle préféra soufflé un grand coup et y répondre. Elle espéré surtout qu’il constate que c’était limite un privilège qu’elle lui faisait en répondant.

« A oui, c’est vrai je me suis même pas présenté ! (^_^’’) Masako Misao ancienne Anbu de Kiri, j’ai déserté ce village et voila que je m’occupe à présent de celui –ci. Mon age ?? Et ça devient indiscret là. Je te répondrai plus tard à ça ... ou pas ! Allé vas y demande autre chose. Je suis de bonne humeur pour répondre. »

Son ton descendait au fur et à mesure, devenant plus calme et son sourire réapparut, de plus en plus prononcer. C’était si paisible de la voir comme ça. Enfin ça n’allait peut être pas durée. Mais tant qu’elle était comme ça c’était bon signe.

Seiatsu était surpris, il avait réussi à mètre Masako de bonne humeur ou pas loin… Pourtant il n’avait rien fait pour… Elle souriait légèrement certes mais elle souriait… Cependant les question que Seiatsu avait délibérément posé pour l’ennuyé l’ennuya comme prévu, elle souffla un grand coup mais elle y répondu quand même.

« A oui, c’est vrai je me suis même pas présenté ! (^_^’’) Masako Misao ancienne Anbu de Kiri, j’ai déserté ce village et voila que je m’occupe à présent de celui –ci. Mon age ?? Et ça devient indiscret là. Je te répondrai plus tard à ça ... ou pas ! Allé vas y demande autre chose. Je suis de bonne humeur pour répondre. »

« Enchanté Masako-hime, je ne pensait pas que tu allait y répondre. Que me vaux ce privilège ? »

Il laissât un temps de pause pour la réponse mais enchaina tout de suite après.

« Anbu de Kiri hein ? Et bien tu semble peu patiente pour une Anbu, tu viens d’une famille noble je me trompe ? Et je n’ai pas envie de te bombarder d’autre question… tout du moins pour l’instant. Par contre tu peux posé autant de question que tu veux… »

Il se retourna vers la jeune femme et lui souriais.

« Je serais libre d’y répondre ou pas. Cependant tu semble être quelqu’un d’intéressant j’y répondrais sûrement dans ce cas. »

Alala ... encore une question ... c’était à croire qu’il aimait la faire enrager. Et encore il n’avait rien vu. Mais bon c’est assez compréhensible lorsque l’on arrive dans un nouvel endroit des tas choses nous viennes à l’esprit et surtout des questions ... des questions ... et des questions encore des questions et toujours des questions.

*Overdose de questions ? Ca existe ? *

Enfin pour le moment les plus ennuyantes étaient passées, maintenant c’était la place aux indiscrètes.

« Effectivement un privilège, mais n’en abuse pas ! »

La jeune femme resta là ou elle était, elle n’allait pas le suivre encore moins courir après, elle verrait bien si il l’écouterai.

« Oui, une famille plutôt riche, où l’on se fait servir et où l’on à ce que l’on veut à la minute ou on le demande. C’est triste. D’où mon impatiente. Enfin bon ça se travail. J’aurais juste une question pour toi. Tu viens d’où ? »

« Effectivement un privilège, mais n’en abuse pas ! »

Il haussa les épaule en signe de réponse, l’air de dire ‘’Je m’en fous’’… Il posait les questions qu’il voulait à qui il voulait. Apparemment elle venait bien d’une famille riche comme il avait deviné. Elle lui demanda également d’où il venait.

« Je viens du village de la neige. Masako Hime-Sama. »

La jeune femme ne semblait pas le suivre, Seiatsu se retourna alors et marcha d’un pas rapide tout en observant autour de lui à quoi ressemblait le village, il observait le village avec son air supérieur comme un Roi qui fait une visite importante. Il se foutait totalement de savoir si Masako le suivait ou pas finalement, de toute façon c’était elle qui posait les question maintenant et si elle voulait une réponse elle devait de toute façon suivre le nouveau.

Seiatsu s’arrêta quelques secondes l’air pensif, il se demandais quel genre de maison il allait construire, mais une chose est sur il en profiterais déjà pour s’entraîner un peu…

[Mitsuko est de retour, après une longue absence je l'avoue, mais mieux vaut tard que jamais, non? ^^']

Mitsuko n'avait pas donné de signe de vie depuis un bon moment, à vrai dire, elle avait longuement médité, s'isolant litéralement jusqu'à ne plus montrer sa présence. Tout ce qui s'était passé entre temps au village, elle n'en avait aucune conscience. En faite, elle s'en fichait dans le fond sinon elle aurait investit davantage pour le village. Tout ce qui comptait pour elle était sa propre personne. La jeune femme était égoiste et n'avait nullement changer, tout ce qui l'intérèssait se limitait à sa personne et rien d'autre. Peut-être étais-ce qui l'avait amener à s'isoler de la sorte de la sociète?

Quoi qu'il en soit, elle s'était décidée à prendre un nouveau départ. Après mûres réfléxions, c'était le meilleur choix à faire. Elle avait entendu dire que les déserteurs avaient déménagés dans un lieu précis, elle s'y était rendu après un long périple. Elle avait fait en sorte de se trouver toujours un endroit où dormir la nuit et pour ce qu'y était de la nourriture, elle s'était contenté de voler les plus faibles. Elle demandait parfois sa route lorsqu'elle se pensait perdu...En clair, elle s'était débrouillée comme elle le pouvait. Et désormais, elle était là au millieu de nul part...

Entre temps la jeune femme avait véritablement changée. Elle avait assez que son physique avantageux l'empêche d'arriver à ses fins, son physique de minette l'exaspèrait, c'est pourquoi elle s'était décidée à le cacher. Elle portait désormais un long voile bleutée qui cachait le haut de son visage. Quant à ses vêtements, elle était habillée d'un ensemble qui était en soi fait pour le combat. Ah, mais dans quel état se trouvait-elle! Elle était sale, déplorable, limite si elle ne puait pas. Elle n'avait pas à s'en préoccuper, de toute manière ça ne changeait rien. Si elle était ici, ce n'était pour être propre mais pour progresser. Son niveau ne devait avoir bien augmenter depuis la dernière fois, elle devait rattraper le temps perdu. Quel qu'en soit les conséquences! Elle se fichait de perdre des membres, de tuer...Si cela lui permettait d'acquérir de la puissance, ça ne pouvait que l'enchanter. Et oui! Mitsuko ne s'était pas adouci, au contraire ces jours amères qu'elle avait passé, n'avait fait qu'accroître sa haine envers les gens. Non content de détester les hommes, elle commençaient aussi à hair les femmes. Elle les haissait tous! Ce n'était que de simples obstacles, des boulets...Pourtant ces êtres étaient les seuls à pouvoir la faire progresser, elle allait devoir se fier à eux si elle voulait réellement progresser. C'était la dure loi de la jungle!

"Quel trou perdu! A ce rythme, je ne réussirais jamais à trouver ce fichu village...Fais chier..."

Elle était toujours aussi vulgaire. Elle ne pouvait s'empêcher de sortir des bêtises à tout bout de champs, ça l'amusait, elle se sentait supérieur de cette manière...Mais finalement, cette dite supériorité ne s'était pas rendu compte que le village qu'elle cherchait se trouver à quelques pas d'elle. Elle allait bien finir par le voir et ce fut d'ailleurs le cas.

Elle vit quelque chose au loin qui ressemblait à un village, elle s'y dirigea machinalement, espèrant être enfin arrivée à destination. Elle avait mal aux jambes et elle était dans un état pitoyable. Mieux valait qu'elle reprenne vite des forces.

Voila une arrivée que le jeune homme ne s'attendait pas à voir. La jeune femme avait disparu suite à l'attaque contre Konoha. Koto n'avait pas apprit à bien la connaitre, malgré le fait qu'elel était arrivée peu de temps après lui au village de Ryoko. Il la savait solitaire et faisant peu confiance aux hommes, cela avait il changé.

"Mitsuko, cela faisait longtemps."

Pas un mot de plus, pas d'émotion particulière, Koto se présenta à elle sans se cacher. Mitsuko ne faisait pas partie de shinobi qu'il pouvait impressionner ou inquiéter, d'ailleurs aurait il eu vraiment envie. Mais une chose était certaine c'étati qu'avec le retour de la kunouchi, la population féminine du village grandissait en puissance. Comme si la désertion était plus commuen chez les femmes, chose que Koto savait fausse. Mais en ce qui concernait celles qui les rejoingaient, elles avaient tous un passé douloureux, ceci expliquant peut être cela.
Le jeune homme se tenait le dos contre un arbre, son sharingan activé. Il devait s'habituer à ce dernier, mais il s'en servait aussi pour distinguer un henge. Il se pouvait que certains de leurs ennemis, ou chasseurs de primes tentent de se servir de ce subterfuge pour les approcher.

Avant même qu'elle ne pénètre dans le village, quelqu'un apparut. Enfin apparaître était un bien grand mot, disons que la jeune femme n'avait réellement remarqué sa présence dès lors. Il s'était caché derrière un arbre et si il ne l'avait pas interpellé, elle n'aurait sans doute pas fait attention à sa présence. Pourquoi? Car sa présence n'était pas dangereuse. Ce genre de chose se sentait...

A première vue, elle connaissait la personne. Surtout qu'il lui avait adressé la parole et connaissait son nom. Son visage lui était familier, difficile de dire quel était son nom...Elle ne s'en rappellait pas. Mitsuko ne retenait que les noms qui pouvaient lui servir. Sinon elle ne préoccupait pas les apprendre. Quoi qu'il en soit, malgré le fait qu'elle était certaine de l'avoir déjà vu, son nom ne lui revenait pas. D'ailleurs elle n'avait qu'une idée vague de la personne.

Lorsqu'il lui avait parlé, la jeune femme n'avait pas répondu directement. Elle s'était contentée de relever un peu son voile afin d'avoir une vision un peu plus nette...

Ce ne fit qu'après un moment de réfléxion qu'elle se souvint enfin de qui il était. Ils étaient arrivés le même jour au village des déserteurs. Son nom, par contre, ne lui revenait toujours pas...De toute manière, elle ne s'en préocupait pas.

Elle fronça légèrement les sourcils, puis après un moment d'attente, répondit à voix basse:

"Effectivement."

Sa voix trahissait son jeune âge. Elle avait encore une voix douce et enfantine, qui ne collait pas réellement à son image sale et provocante. C'était sans doute la seule chose qui avait gardé de sa pureté en elle. Raison pour laquelle, elle détestait le timbre de sa voix.

Elle ne savait pas réellement depuis quand elle avait décidé de tout quitter. Elle n'avait plus aucune notion du temps. Mis à part le jour et la nuit, tout lui échappait. C'était limite si elle savait exactement son âge. Quoi qu'il en soit, la jeune femme avait décidé de revenir de son plein gré...Après un long moment d'isolement, elle s'était dit que donner un peu d'action, allait peut-être lui être négative. Elle faisait confiance en son instinct.

"Il a dû se passer bien des choses depuis au village, je présumes...Sûrement...Un tel déplacement ne peut être provoqué que par de grands événements." dit-elle sans prendre la peine de regarder le jeune homme

Difficile de dire si elle lui parlait ou alors se contentait de parler toute seule...A vrai dire, c'était un peu des deux.

Rien dans le comprotemetn de la jeune femme surpris Koto. Elle était distante, mais pas plus que d'autres. Le retour de la jeune femme fit naitre une vague de nostalgie en lui. Il n'avait été proche d'elle, mais ils avaient vécus ensemble au sein du même village. Il se rappelait que son affinité était suiton, mais sans plus.
Puis vint la remarque, celle qui le rammena à la réalité du présent. Cette dernière était normale et attendut, mais en même temps elle était douloureuse.

"Oui des évènements importants sont arrivés. La mort de Ryoko, celle de Katsue, la disparition de Hideshi ont été les premiers signes. Puis il y a eu l'assault de la machine de guerre de Iwa sur notre village, ce qui explique notre déménagement. Ainsi que la nomination d'un nouveau leader, Sendo. C'est grace à lui que nous avons put fuir, mais c'est aussi grace à lui que la Tsuchikage fut vaincue, lui son frère et son second en fait. Sinon rien de bien nouveau, si ce n'est que la population féminie du village s'est accru."

Koto ne quitta pas son tronc, ni ne regarda franchement la jeune femme. Son sharingan lui avait apprit ce qu'il désirait savoir.

"Soit la bienvenue chez toi Mitsuko."

Des mots simples, sincère même si le ton avec lequel ils avaient été dit restait neutre et froid. Après tout, cette jeune femme était un Nukenin depuis aussi longtemps que lui et elle avait sa place en ce village. Et si durant son absence, elle les avait trahit, il laisserait ce problème à Sendo.

Mitsuko resta silencieuse. Elle ne s'était pas attendu à tant de mauvaises nouvelles et n'en fut pas moins atteinte. Elle était peut-être détestable et distante mais n'en restait pas moins humaine. Ces paroles eurent d'ailleurs pour effet de lui faire baisser les yeux. Pas seulement, mais ce geste la trahissait. Elle en avait loupé des choses...Et surtout des personnes qu'elle connaissait n'était plus en ce monde. Ryoko le premier. Katsue, elle l'avait peu connu. Quant à Hideshi, elle en était venu à faire un entraînement amical avec lui. Non pas qu'elle avait tenu à eux, loin de là, seulement la mort n'était pas un sujet à prendre à la légère. Même si elle en était venu à tuer sans remord, si quelqu'un qu'elle connaissait mourrait, elle se sentait mal. Réellement. Ce mal pourrait plutôt être qualifié comme de la tristesse à vrai dire. De l'amertume...Une envie de casser. Une envie de pleurer...Ah, pleurer...Mitsuko n'avait pas honte de pleurer même si elle évitait.
Dans ce cas-ci, Mitsuko ne pleurait pas. Elle s'était contenté de redescendre son voile pour cacher son regard. Elle ne parla pas durant un moment, laissant un grand moment de pose.

"Soit la bienvenue chez toi Mitsuko."

Chez toi...Le fait d'attendre ces mots lui faisait étrangement plaisir. Oui car en effet, elle aurait ne pas être la bienvenue. Elle se souvenait de son arrivée au village des déserteurs, Ryoko avait bien mentionné qu'ils ne devaient pas partir du village, sinon ça serait pris comme une sorte de trahison. En effet ce qu'avait fait Mitsuko n'était pas ce qu'on pouvait appellé admirable, mais néanmoins elle ne les avait trahi. Déjà, à quoi bon les trahir, elle n'en aurait retirer rien de bon et puis dans sens, elle tenait un peu à ce village. C'était, comme l'avait dit Koto, "chez elle".

"Merci, dit-elle d'un ton amer, désormais il faut que j'aille voir ce Sendo. Il faut bien que j'explique mon cas. Tu ne pourrais pas m'indiquer où il pourrait se trouver?"

Le jeune homme se détacha du tronc d'arbre et se dirigea vers la jeune femme. Il ne termina pas son chemin s'arrétant à quelques mètres d'elle. Il laissait une distance polie entre lui et elle.

"Tu le trouveras dans son bureau ou au bar. A moins qu'il ne se promène, mais quand à expliquer ton cas, je ne crois aps que cela en soit la peine. Mais je ne te dirais pas commetn te comporter."

Koto prit la direction du village, ouvrant ainsi la voie à la jeune femme.

"Mais peut être accepterais tu de me dire pourquoi tu as disparut, je t'ai crut morte."

Il n'y avait pas la moindre trace de sentiment, juste une question et une remarque rien de plus.

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