[lieu] Maison d'Atria Washiga

CHEZ ATRIA WASHIGA

Atria vivait avec sa mère, Luna Washiga. La maison n’était pas très grande, juste se qu’il faut pour une mère et sa fille. La pièce préférée de la petite était le salon : étant la plus grande surface aménageable rectangulaire, Luna l’avait bien décoré. Une grande table se trouvait au milieu avec quatre chaises autour, au fond à gauche, juste derrière, un buffet de rangement pour la vaisselle et au fond à droite, une cheminée. C’était le point de recueillement d’Atria car une grande photo de son père était placée au dessus, ornée de dessins sur le cadre.

Il y avait aussi deux chambres, une salle de bain et bien sur la cuisine : le stricte minimum. La chambre de la petite n’était pas comme celle de toutes les filles de son âge. Aucun poster n’était accroché aux murs blancs, il y avait juste un lit, sa table de chevet, un bureau, une armoire et une petite étagère avec des livres de toutes sortes. Sur sa petite table à côté de son lit Atria y avait mis une photo de son père et d’elle, ensemble.

La mère était aussi très simple et avait, dans sa chambre, juste un lit et une armoire, sans oublier la photo de son mari, qu’elle avait mis sur le rebord de sa fenêtre.
Luna était de nature reposante toujours prête à apaiser les esprits plutôt que d‘envenimer les situations et tensons incontrôlable. Atria n’a jamais compris comment sa mère pouvait restait aussi calme. Mais tout comme sa fille, c’est une façade, étant donnée que maintenant c’est elle, le pilier de la famille. Pour ne pas que sa petite la voit pleuré, il fallait qu’elle soit forte, contrairement à elle qui n’arrive pas à se contrôler lorsqu’elle voit une injustice et aurait tendance à rentré dans ces tensions.

Luna et sa fille avaient la même tristesse et peine, la seule chose qui les différenciées était que l’une connaissait son passé et l’autre non.
La mère de famille n’a jamais osé avouer à sa fille la vérité sur la mort du père de la petite.Elle pensait qu’en lui mentant ces souvenirs ne remonteraient pas à la surface, et ainsi elle la protégerai de cette affreuse souffrance et réalité. Seulement cela eu l’effet opposé. Atria en souffrait tous les jours, par des cauchemars, et là, encore une fois de plus, qu’en cette dernière lui racontait son rêve étrange et répétitif, Luna rétorquait :

"Ne t’inquiète pas, ma petite, ce n’est qu’un cauchemar. "

Mais elle savait que sa mère lui mentait, que ça avait un lien avec son père et son passé. Le faite que la jeune fille, aille s’inscrire à l’académie de Suna, fit sortir sa mère de ses gons, et voulu l’en dissuader. Voyant la réaction de sa mère, elle devina que celle-ci lui cachait quelque chose et décida que, pour une fois, il fallait qu’elle lui désobéisse.

Atria était sur le chemin du retour, avec ses deux livres. Elle avait peur, peur de la réaction de sa mère face à sa désobéissance. Alors elle alla se promener avant de rentrer et réfléchissant aux conséquences :

*Tant pis pour elle, je ne changerai pas d’avis sur la voie que je me suis découverte…*

Elle était encore plus malheureuse qu’avant, la faite que sa mère soit en colère après elle, avait un effet néfaste sur celle-ci.

Pendant qu’Atria culpabilisait, Luna était dans le même état. La mère s’avait qu’un jour, sa petite allait retrouver la mémoire, c’était le médecin qui lui avait dit, mais cela pouvait prendre 2ans comme 5ans ou même 10ans. Il fallait juste qu’elle soit à nouveau en contacte avec son passé. Le faite qu’elle se soit inscrite dans l’académie allait sûrement faire tout remonter. Elle hésita à lui dire, puis elle compris, tout en se remettant en question, que vouloir la protéger était un acte égoïste et c’est elle qu’elle protégea en n’en parlant pas.
Luna avait aussi compris que sa fille était devenue grande, qu’elle avait mûri en s’inscrivant, et valait peut être mieux, qu’Atria, apprenne son passé par sa mère plutôt que toute seule, afin de pouvoir être soutenu.
C’était un choix difficile qu’elle allait prendre, sa fille saurait peu être bientôt toute la vérité, mais arriverait – elle a tout lui dire ?

Il était assez tard, Luna commença à s’inquiéter, quand Atria rentra. Elle avait les yeux un peu rouges, et sa mère devina qu’elle avait pleuré.

" Excuse-moi, maman, de rentrer aussi tard, c’est que … j’avais besoin de marcher "

"Ce n’est pas grave, ma chérie, la principale est que tu sois là maintenant. Ecoute assoies toi il faut … il faut qu’on parle ! Je suis prête et je pense que tu l’es aussi ! "

Luna regarda sa fille droit dans les yeux, des larmes coulaient le long de ces joues.

"Mais tu pleures. Qu’est ce qu’il se passe maman ? "

"Je suis prête à répondre à toute les questions que tu veux concernant ton passé. J’ai bien réfléchie et je préfère que sa soit moi qui te l’apprenne plutôt que tu le découvre toute seule et que tu m’en veuilles de ne jamais t’en avoir parlé."

Atria n’en croyait pas ses oreilles. Des tonnes et des tonnes de questions lui vinrent en tête.

"Comment papa est-il mort ?" Rétorqua-t-elle aussitôt.

Luna lança un grand et profond soupir avant de commencer à tout lui avouer.

" C’était un soir, tu avais 4ans, tu n’étais pas encore rentrée. Dehors il faisait doux, c’était la pleine lune. Je m’en souviens parce que ton père et moi étions sur notre petite terrasse. Ca faisait 5ans que nous étions mariés ce jour là. "

Une larme traversa son visage, puis une autre, et encore pleins d’autres.

"Tu n’est pas obligée de me dire tout ça aujourd’hui, maman, surtout si c’est trop dur " Répondit Atria

" Si ! Il le faut, je dois le faire sinon je m’en voudrait de ne pas avoir réussit à tout te dire. "

Luna reprit ses esprits, se calma et sécha ses larmes d’un revers de sa main.

"Bon je reprend. Des … des voleurs… s’étaient introduit dans la maison, et … ils… ils ont surpris ton père, qui essayait de les arrêter "

Elle commença à bégayer comme si elle doutait de se qu’elle disait : en effet celle-ci se sentit mal car elle était encore en train de lui mentir. La mère n’arriva plus, pendant quelque instant à regarder sa fille dans les yeux. C’était tellement dur pour elle que cette histoire de voleurs avait était inventé de toute pièce, mais elle ne pouvait plus retourner en arrière, pour qui passerait elle devant sa fille : pour une menteuse ?!
Seulement, Atria stupéfiée par le courage que sa mère avait de lui reparler de cette fameuse nuit, qu’elle ne se rendit même pas compte de ce moment d‘hésitation. La jeune fille croyait presque tout se que sa mère disait. Etant donnée qu’elle n’était pas ravie que sa fille s’inscrive à l’académie, Atria pensé qu’il y avait un lien, alors l’excuse des voleurs ne l’avait pas tout a fait emballé.

* Il vaut mieux que je me fasse à cette idée, ça ne doit vraiment pas être facile pour elle de m’avouer une journée aussi noir.*

" Et alors, c’est en essayant de les arrêter qu’il est mort ? C’est eux qui l’on tué ? "[Demanda la jeune fille.

" Oui ! L’un des ceux … pris… un couteau… qu’il avait sur lui et … donna un coup à ton père… un coup mortel."

"Alors, le cauchemar que je fais toutes les nuits, c’est se qu’il c’est réellement passé ? Mais alors … dans mon rêve je vois des yeux bleu foncés très beaux. Tu ne sais pas qui a des yeux comme ça et qui était proche de moi ?"

" Oui se mauvais rêve est un bout de ce qu’il s’est passé, un petit morceau de puzzle qui représente ton passé ma petite chérie. En se qui concerne les yeux bleu je ne sais pas … juste ton père qui avait les même yeux que toi. Tu en as hérité. " Répondit sa mère.

Un sourire se fit voir sur son visage.

"Non ! Pas papa. Quand je fais ce cauchemar, je ressent plus un sentiment se rapprochant de l’amitié que celui d’un père ! Et en plus pourquoi je n’étais pas à la maison ? "

"Oui c’est exacte, tu rentrais de chez une amie. A part elle je ne vois personne d’autre, seulement, je ne pourrais pas te dire la couleur de ces yeux. "

"Ah bon ! Et pourquoi ? " Demanda la jeune fille toute étonnée.

" Parce que cette fille était aveugle ! Elle portait toujours un bandeau sur les yeux. Je ne l’ai jamais vue de près. Mais un truc est sur, c’est que tu étais tout le temps avec et tu adorais sa compagnie. Vous étiez inséparable. "

"Aveugle … "

Atria se posait toutes sortes de questions depuis que sa mère lui avait tout avoué, où presque. Maintenant, elle savait à qui appartenait ces beaux yeux, c’était sa meilleure amie, mais la question était « Qui est-elle ? ». Elle ferait tout pour découvrir le reste de toutes ces petites parties d’ombres.

En attendant elle avait deux livres qu’il fallait qu’elle étudie soigneusement et n’avait plus une minute à perdre. Avec toutes ses questions en tête, Atria n’arriva pas à se concentrer et repensa au cours et exercices qu’elle avait réalisé aujourd’hui, et grâce a sa sensei repris le chemin de la concentration.

*C’est vraiment génial, j’ai vraiment appris quelque chose au cours de ces exercices*

Puis elle ouvrit ses livres et étudia.

Atria étudia une bonne partie de la nuit et s’endormit sur ses livres. Pour la première de sa vie, ou du moins de ce qu’elle se souvenait, elle dormit comme un petit bébé. Elle ne fit aucun cauchemar. Quant elle vit ses cahiers ouvert, elle compris qu’elle s’était endormit devant. Elle s’était rendue compte, également qu’elle n’avait pas fait de cauchemar, et ça s’était le plus important. Enfin des nuits tranquilles sans sueur, sans peur de fermer les yeux, que des rêves plus de cauchemars.

Elle descendit de sa chambre et vit sa mère, et alla s’empresser de lui dire qu’elle avait passé une superbe nuit. Sa mère était tout aussi contente et ça la rassura.
Atria était en retard, elle sauta sur son lait chocolaté et ses tartines, pris son écharpe rose et blanche et alla a vive allure à l’académie et plus précisément dans la classe de sa sensei Karynn

Un après midi, alors qu’il pleuvait à grosse goutte, Luna décida de faire le ménage de printemps dans sa maison, ce qui comprenait aussi la chambre d’Atria qui était pas mal en désordre.

*Super journée en perspective … pff*

Pendant que sa mère commença à attaquer la cuisine, la jeune fille pris sa chambre pour cible. En effet c’était un champs de bataille, on aurait dit que ces vêtements c’étaient fait la guerre, tellement qu’il y en avait plein partout. Sur ou sous le lit, sur sa chaise, bref il y avait du choix. En plus des habits, les livres de l’étagère étaient mal rangé et un peu, voir beaucoup poussiéreux. Elle mis toutes ses affaire qui étaient par terre, sur son lit, afin de faire plus de place pour qu’elle puisse ranger ses livres et enlever le tas de poussières qui s’était installé dessus. Après tout avoir mis dans un coin, elle commença par prendre un ouvrage, le tira vers elle et là … c’est le drame. Sa petite bibliothèque, lui était tombée dessus et se retrouva en dessous d’un tas de livres. Luna inquiète du bruit qui venait de résonner dans la maison, monta aussitôt dans la chambre et appela sa fille. Quant elle aperçu, parmi le tas qui encombrait la pièce, une main.

"Je suis là maman … ne t’inquiète pas … je range !"

Atria se mis a toussé un peu à cause du monticule de poussière qui s’était dispersé et alla ouvrir sa fenêtre. Ensuite, elle nettoya le meuble, avant de remettre un par un ses encyclopédies. Après une bonne demie heure de rangement, elle arriva en bas de l’étagère, il ne resta pus qu’une rangé. Puis, sans faire attention, elle pris un livre dans lequel un papier s’envola et tomba. Curieuse, elle se précipita sur le bout de papier, qui était en faite une photo, et la regarda.

Une force étrange retenait ses yeux rivait sur la photo, comme si on l’avait paralysé. Des flashs lui revenait, comme quant elle faisait ses cauchemars, mais là, à la place des deux yeux bleu, elle vit les deux petites fille jouer et rigoler ensemble, lié d’une forte amitié. Elle revit aussi la scène du soir, où son père est mort, elle était dans une belle maison assez spacieuse, plus que la sienne, la petite fille aux cheveux foncés et aux yeux bleu nuit et l’autre aux cheveux blond et aux yeux bleu plus claire. Ensuite le cauchemar recommence, la petite blonde sort de la maison, tout en disant au revoir a son amie…avance dans la pénombre de la rue… deux individu tout vêtu de noir… le bruit de verre brisé et…

" Aaaaaaaaaaah !"

Atria revit son père, mort. Elle avait compris que la petite blonde n’était personne d’autre qu’elle et les yeux qu’elle voyait si souvent s’était … sa meilleure amie. Tout ça en même temps, ça en faisait trop pour l’étudiante. Luna monta en quatrième vitesse quant elle entendit le hurlement de sa fille.

"Qu’est ce qu’il y a ma chérie ? … Répond !"

La jeune fille était toute recroquevillait sur elle-même, en pleurant, et ne se calma que dans les bras de sa mère, qui lui chantait une berceuse pour l’apaiser. Atria ne parla pas, elle avait le regard dans le vide. Après plus d’une heure, elle commença à parler, montrant à sa mère la photo qu’elle venait de découvrir et le cauchemar répété qui était revenu.

Au moment de se coucher, la jeune fille avait peur de fermer ses yeux et de dormir. Elle pris la photo, qui était posé sur sa petite table de chevet. Tout en fixant l’enfant aux yeux bleu nuit, son regard dévia sur la droite, au niveau du texte : « Amies pour la vie ». Comment avait elle pu oublier ses moments passés, pourquoi cette « amie » n’était pas là, avec elle. Tant de questions sans réponse, Atria se mis a pleurer : elle se sentait seule depuis cette découverte, mais aussi était plus libre car elle avait résolut une partie de ce rêve étrange.
Sans qu’elle ne s’en rende compte, elle s’endormie doucement la photo à la main.

Atria et Kuri commencèrent à partir, pour aller manger, quant il lui proposa une solution : il pouvait porter Atria une partie du chemin, comme celle-ci était assez fatigué, de plus ça ne lui dérangea pas, car comme sa il s’entraînait encore un peu. Atria accepta volontiers cette démarche. Le ventre de la jeune Washiga criait famine et les deux étudiant mettait un peu plus de temps pour arriver aux portes du village tellement, vu qu’ils étaient un peu plus fatigués. Le vent commença à se lever, et fit tourbillonner le sable. Malgré que Atria aimait cette sensation, elle n’aimait pas l’idée de se faire encerclé par une tempête de sable.

« Il était tant que nous arrivions ! »

La ruelle où habitait Atria était vraiment très petite. Il passèrent et arrivèrent dans sa modeste demeure. La mère d’Atria, Luna, attendait sa fille avec impatiente. Quant elle la vie, elle se jeta dessus, en lui demandant ce qu’il lui était arrivé.

« Ne t’inquiète pas maman, c’est normal, j’ai juste fait un petit combat d’entraînement avec mon ami Kuri ! Lui aussi est étudiant et il fallait que l’on s’entraîne. Je l’ai invité à venir manger, parce qu’on était tellement fatigué. Ca ne te dérange pas ? »

« Un combat!! bon ... tu as bien fait d'inviter ton ami. Bienvenue à toit Kuri je m’appel Luna ! Vas y entre fait comme chez toi ! »

La mère d’Atria était toujours accueillante avec ses amis. A peine rentré, elle alla vite préparer le repas préférer de sa petite fille : des pâtes. Atria quant à elle, abandonna quelque instant son nouvel ami, et alla se recueillir près de la cheminer où la photo de son père s’y trouvait. Puis elle pris son écharpe blanche et rose et la déposa délicatement en dessous du cadre sur la petite bordure, Et murmura doucement, à son père comme s’il était encor là.

« Je préfère la laisser ici, tu comprend si je la déchire durant un entraînement ou un combat je m’en voudrait ! Je t’aime tan papa ! Tu sais aujourd’hui j’ai fait mon ton premier combat, pour m’entraîner bien sur, et j’ai un nouvel ami ! Bon j’y vais parce que le pauvre je l’ai laissé tout seul. »

Puis elle se dirigea vers Kuri pour lui présenter sa maison. Elle le pris par la main, comme pour le dirigeait, et avança dans les pièce de la maison.

« Il faudra que tu me montre, toi aussi, ta maison, un de ces jours ! »

Kuri arriva chez Atria et trouva la maison forte agréable bien que cela ne fut pas son style et plus généralement le style de sa famille. Enfin Kuri regardait partout et salua la mère d’Atria avant de rentrer dans la maison . Atria lui expliqua qu'elle avait perdu son père et lui montra une photo de lui . Lorsque Kuri vit cette photo, il lui semblait qu'il avait déjà vu l'homme quelque part quand il était petit. Il chassa son souvenir de sa mémoire et suivait Atria qui lui présentait une à une les pièces de la maison. Sa première impression qu'il avait de la maison se confirma à la mesure de la visite, Kuri trouvait la maison beaucoup trop claire à son goût et lui même avait l'impression de faire tache en étant tout de noir vêtu.

Mais ce qui intrigua le plus Kuri c'est lorsqu'il vit la chambre de Atria, celle-ci était simple et dénuée d'artifices, un peu comme la sienne bien qu'il la trouvait un peu sale et désordonnée à son gout . Lorsqu’ils revinrent dans la pièce principale Atria pris la parole .

« Il faudra que tu me montre, toi aussi, ta maison, un de ces jours ! »

Kuri la regardait et son sourire s'était figé, maintenant un sourire sans joie s'affichait sur son visage . Avant qu'Atria s'en inquiéte, Kuri prit la parole

" Ca risque d'être difficile, Atria, je fais partie d'un clan qui vit à l'écart des autres clans qui vivent à Suna et plus particulièrement les Kagamis . Mon clan vit un peu en autarcie et comment dire à part si j'ai de très bonnes raisons de te faire venir chez moi . Tu risque d'être très mal vu par le reste de la famille . Ce n'est pas contre toi, c'est juste que l'on m’a habitué comme cela et que mon père, le chef de ce clan, est relativement strict depuis la mort de ma mère . Mais j'essayerai . En tout cas, c'est une belle maison que tu as là, la nôtre est un peu plus sombre, regarde ma tenue, elle t'en dira long sur ma maison"

Kuri détourna les yeux, et se mis à contempler la partie de Suna qu'il voyait. De là où il était, il voyait une ville totalement lumineuse et colorée ,

* Suna est un beau village, quand je pense que moi je ne vois que les murailles de ma chambre, cela m'attriste, c'est encore ma sœur qui a la meilleure situation *

A la simple pensée de sa sœur, un sentiment de colère profonde surgissait des profondeurs de son âme, cette colère qui l'envahissait était dure à refouler mais Kuri le faisait très vite car il ne voulait qu’Atria s'aperçoive de ses sentiments . Il était en train de se calmer et souffla un bon coup avant de s'adresser à Atria .

" On a une belle vue d'ici, je t'envie un peu "

Puis il se tourna vers la cuisine où la mère d’Atria préparait à manger.

"Tu es sure que ta mère n'as pas besoin d'aide "

Kuri essayait de détourner le sujet de la discussion, il n'avait plus envie de parler de ça

Atria avait eu l’impression d’avoir posé une mauvaise question et d’avoir touché la corde sensible. Kuri lui expliqua pourquoi il ne pouvait pas l’inviter et elle respecta le choix de son clan, puis le rassura en lui disant qu’elle comprenait et que ce n’était pas grave, mais seulement s’il continuait à accepter ses invitations à manger. Ensuite Kuri alla regarder dehors, quant il commença à froncer les sourcils. Atria le regarda, et vit que quelque chose n’allait pas, mais n’y porta pas attention : si il ne parlait pas c’est qu’il ne veut pas en dire d’avantage. Pour elle si une personne à un problème et qu’il n’en parle pas, c’est sa décision et il ne faut surtout pas s’en mêler ou essayer de chercher. Par contre le jour ou un ami à besoin d’une oreille attentive, elle était la mais seulement si l’autre le voulait. C’était son père qui lui appris ce sens de l’amitié : être toujours la quand il le faut, mais ne jamais poser de questions trop indiscrète. Kuri demanda à Atria si elle était sur que sa mère n’avait pas besoin d’aide.

" Ne t’inquiète pas, elle aime faire tout ce qu’il y a à faire dans la maison ou même pour moi. Depuis que mon père est mort, elle est constamment sur mon dos … " Elle s’arrêta nette, baissa la tête, puis repris "Enfin je pense… je … je suis amnésique, je me souvient de certains moment de ma vie mais que depuis l’âge de environ 8ans. D’après ma mère mon père est mort quand j’avais 4ans. Donc finalement je pense que ma mère est comme sa avec moi depuis ce drame. "

Elle releva la tête, regarda Kuri et lui fit un grand sourire pour ne pas l’inquiéter, ensuite elle continua.

" Si je lui demande de l’aide elle va me dire qu’elle n’en a pas besoin, et qu’après de telle effort, je devrait plutôt me reposer. Mais bon je te laisse quand même, je vais juste lui demander dans combien de temps le repas sera près. J’ai vraiment trop faim ! "

Atria laissa seul, pendant quelque instant, Kuri, dans le salon. Puis elle revint en lui disant que c’était prêt, prêt à manger. Durant le repas, le jeune Washiga avala un plat de pâte, heureusement Luna, habitué à la voir manger autant, en avait prévu deux. Elle mangeait vite et beaucoup, comme si elle avait peur qu’on ne lui prenne son assiette. Kuri était plus distingué, c’était la première fois qu’on l’invitait.

" Atria, ma chérie, arrête de manger si vite, et puis prend exemple sur ton ami. "

" Oups !! Désolé ! " Dit elle en rigolant

Atria regarda Kuri, il avait l’aire un peu ailleurs, comme partie dans ses pensées. La mère de la jeune fille était contente de recevoir du monde à manger, ça faisait tellement longtemps que personne n’était venu, ça lui faisait plaisir d’autant plus que c’était un ami de sa fille. En effet comme la petite ne se souvient plus de son passé, Luna avait peur qu’elle se soit rejetée par ses camardes à l’académie. Mais Atria avait un tempérament que beaucoup de personne appréciées, et se rendit compte qu’elle était heureuse.

Kuri regardait la mère d'Atria et Atria s’amuser. Kuri souriait, il aimait bien ce cadre familial et festif. Chez lui, personne ne parlait chacun savait la tache qu'il avait à faire et l'accomplissais en silence sous peine de devoir diner dehors .Soudain son œil le gratta, et il demanda à la mère d'Atria s'il pouvait emprunter sa salle de bain quelque temps, le temps d'enlever le sable qu'il avait dans les yeux, il s'excusa d'avance pour la gène qu'il allait provoquer. Kuri était très à cheval sur les manières. On l'avait habitué comme cela.

Une fois, dans la salle de bain, Kuri commença à enlever le sable de son œil quand il senti qu'il avait mal à l'épaule droite. Il décida de regarder ce qu'il y avait et décida d'enlever une de ses manches de son haut, il était trop timide pour se mettre torse nu. Il regardait dans le miroir et vis le tatouage du clan qu'on lui avait fait faire deux ans plus tôt

* Même toi dans un contexte si heureux, tu me rappelle mon appartenance toi aussi, j'en ai marre de cette famille *

Kuri regardait autour de lui si Atria ou sa mère n'était pas venu le voir et laissa exploser sa haine pendant quelque secondes. Puis il tâta son épaule, il senti un liquide poisseux, lorsqu'il ramena ses mains, il vit qu'un peu de sang avaient coulé, il regarda son épaule dans le miroir et vit une blessure au niveau de la gueule de son lion. Il demanda à travers de la salle de bain à la mère d'Atria.

" Excusez-moi madame est ce que vous pourriez me dire où son les pansements, je me suis blessé légèrement quand je m’entrainais avec votre fille "

Sa mère lui indiqua où était les pansements, et Kuri la rassura en lui disant que cela n'était rien. Il redescendit en pensant au problème d’Atria, elle était amnésique, et il senti un pincement au cœur, il ne la connaissait pas depuis longtemps, et il se demanda comment il réagirait si Atria l'oubliait aussi. Il préféra ne pas y penser. Il redescendit et fis un grand sourire à Atria et à sa mère.

Il alla s'asseoir sur une chaise et dis à la mère de Atria

" Madame, merci pour les pansements et le repas, vous avez réussi à faire rentrer un Usaina chez vous "

Ce qu'il venait de dire était un très grand compliment, en effet la plupart des Sunaiens savaient que les Usaina vivaient à l'écart de la population et qu'ils étaient très difficiles. Il se représenta

" Je m'appelle Kuri Usaina "

Et pour affirmer ses dires, il lui montra le lion blanc qui était sur son dos avec un léger sourire sans joie, puis il se tourna vers Atria et lui dis :

" Il me reste encore trois heures avant de rentrer chez moi qu'est que tu veux faire ? Si bien sur ta mère est d'accord pour que je reste "

Kuri voulait profiter à fond du temps qu'il avait avant de rentrer chez lui avec son amie. Il ne voulait pas retourner à la maison car il allait revoir sa soeur .

Durant le repas Kuri, alla dans la salle de bain pour soigner son œil, puis son épaule.Il revint quelque minute plus tard pour fini de dîner. Ensuite il pris la parole, pour remercier Luna de l’avoir accepter à manger, et de l’accepter telle qu’il était.

Après le repas, Atria aida sa mère à débarrasser, comme si Kuri lui avait fait prendre conscience, derrière leur discutions, que sa mère pouvait être seule souvent, et qu’il fallait qu’elle l’aide d’avantage. Kuri se tourna vers Atria pour lui parler.

" Il me reste encore trois heures avant de rentrer chez moi qu'est que tu veux faire ? Si bien sur ta mère est d'accord pour que je reste "

Sur ces mots, la jeune fille pris son ami par la main et se dirigea dans le salon. Elle avait repris assez de force, et toute existé à l’idée d’avoir appris des choses en cours, elle était impatiente de lui montrer ce qu’elle savait faire : le Kinobori. Luna, impressionné par sa fille, la regarda attentivement contrer son chakra faire le signe de la chèvre et dire Kinobori. Puis Atria appela Kuri, pour qu’il vienne faire la même chose, à côté d’elle. La tête à l’envers, la mère de la petite, malgré la fierté qu’elle avait d’avoir une fille comme elle, n’était pas rassuré et avait peur que les deux tombent. Mais Atria avait toujours le mot pour faire en sorte qu’elle soit un peu moins inquiète.

« Ne t’inquiète pas, maman, on maîtrise !! »

Puis ils descendirent dans le sens inverse du même chemin qu’ils avaient pris. Après un court moment, Atria se rappela qu’elle avait emprunté des livres à la bibliothèque et qu’il fallait qu’elles les ramènent. Elle courut dans sa chambre à la recherche de ces deux livres. La pièce était toujours aussi mal rangée malgré le petit ménage, interrompu, de la dernière fois. Quant elle retrouva ses deux livres, elle descendit de l’étage et alla voir sa mère pour lui demander si elle pouvait sortir, afin de se rendre à la bibliothèque. Celle-ci accepta. Ensuite Atria alla chercher Kuri pour lui proposer.

« Ca te dit d’aller à la bibliothèque, j’ai oublié de rendre les deux livres ? Ca ne te dérange pas ? »

En revenant de la bibliothèque

De retour chez elle, la petite informa sa mère qu’elle allait s’entraîner dans sa chambre et que si elle entendait du bruit qu’elle ne s’inquiète pas. Elle alla dans sa chambre et réfléchit à un moyen d’amortissement, au cas où elle tomberait lors de son exercice. Lorsqu’elle eu une idée : elle pris le matelas de son lit, le déplaça, tant bien que mal, jusqu’à l’endroit souhaité, l’exercice pouvait commencer. Atria débuta par la concentration de chakra, elle repris les différentes étapes dans l’ordre qu’elle l’avait appris durant les cour de Karynn.

Les deux énergies étaient présentes, mais pas en assez grande quantité, alors elle continua pour pouvoir mieux les ressentir. Elle y était presque, elle sentait les deux énergies se rapprocher et au moment ou elle voulu les malaxer afin qu’ils forment le chakra, les deux avaient disparues ! Atria ne compris pas de suite ce qu’il se passait, elle se sentait bien, et n’avait aucun problème. Aucun, sauf peut être l’image de son père qui revenait sans cesse. Elle ne savait pas pourquoi son visage venait la persécuter, mais elle n’arriva pas à faire le vide facilement. C’était dur pour elle, de faire comme si tout allait bien face à ses camarades ou même à sa mère. Elle aurait tant voulu que son père soit là, pour l’admirer et pour lui dire combien elle l’aimait. En échange elle aurait était réconfortée et des mots gentils seraient sortis de sa bouche. Ce qui marqua la jeune fille, malgré qu’elle ne s’en aperçu pas de suite, c’est quant elle avait di à Kuri qu’elle était amnésique. Depuis elle se posa des tas et des tas de questions : est-ce qu’elle connaissait réellement sa mère ? Elle ne se souvenait que de 4 ans de sa vie et son père à part son prénom que connaissait elle de lui. Est-ce qu’il la prenait dans ses bras quand elle avait du chagrin ? S’occupait il bien d’elle en générale ? Tant de questions sans réponse, ni aucun souvenir. C’était vraiment déprimant et frustrant, mais une chose était sur c’est qu’elle les aimait et ça pas besoin de souvenir pour ressentir se genre de sentiment.

Après qu’elle compris pourquoi elle n’arrivait pas à produire du chakra, elle alla ouvrir la fenêtre de sa chambre, regarda le ciel et se perdit parmi les nages. Quand soudain elle entendit une voie masculine, provenant de derrière elle. En se retournant elle vie son père. Vous allez me dire « mais comment pouvait elle savoir que c’était bien lui ? ». Comme je le disait juste avant, ces choses la se sente, c’était son sang qui coulait dans ses veines. Celui-ci s’approcha doucement d’Atria, lui pris ses mains, et lui parla.

« Je suis si fière de toi, ma fille. Mais j’aimerai que tu arrête de te faire du mal, même si je ne sui plus là, je reste et resterai toujours à tes côtés quoi qu’il arrive. Je t’aime, tu es … Ta mère et toi êtes les plus beaux cadeaux que j’ai eu dans ma vie. Un jour tu découvriras la vérité et tu te rappelleras de tout, c’est là qu’il faudra que tu sois forte. »

« Mais Papa … Tu … Tu me manque ! » Cria elle en pleurant

Puis son père recula et parti en direction de la porte, de la chambre d’Atria, mais au lieu de l’ouvrir comme tout le monde, il disparu tel un fantôme.

« Non … Papa …reste … ne t’en vas pas »

La jeune fille se réveilla en sursautant, regardant partout autour d’elle. Elle s’était assoupit sur le rebord de sa fenêtre, mais elle avait encore du mal à croire à un rêve, ça avait l’aire tellement réelle. Il l’avait touché et des larmes coulaient encore le long de ses joues. Atria en avait marre, mais comme son père venait de le dire, il fallait rester forte et puis finalement cette petite visite inattendue lui avait fait du bien. Maintenant elle savait qu’il était fier d’elle.

Après avoir repris ses esprit et sécher ses larmes, elle fit le vide autour d’elle, se plaça en face du mur et recommença. Elle concentra ses deux énergies, mais cette fois-ci les ressentit avec plus de puissance, ensuite les malaxa pour qu’il ne forme plus qu’un. Elle dirigea son chakra dans ses pieds, tout en essayant de mettre la même dose dans chaque côté, ensuite elle le mélangea à ses muscles le malaxa, et commença son ascension avec le tao de la chèvre. Elle arriva à monter jusqu’au plafond, quand sa mère arriva dans la chambre sans frapper. Surprise, Atria perdis le contrôle et tomba du plafond, la tête la première sur son matelas. Luna s’excusa après lui avoir déposé son linge sur son lit, enfin ce qu’il en restait, et partie en fermant la porte.

*Heureusement que tu étais là.* Pensa elle en regardant ce qui venait de sauver sa tête *Si ce n’est pas possible d’avoir le calme, je vais aller m’entraîner dehors.*

Buvant un peu d’eau, avant de reprendre, elle alla prévenir sa mère qu’elle allait dans le petit vergé derrière la maison. C’était un petit jardin, tout ce qu’il y a de plus banale, avec un côté des légumes, de l’autre pleins de fleures de couleur différentes, et au milieu, un peu vers le fond, un arbre parfait pour son entraînement. Elle avança vers celui-ci tout en commençant à se concentrer comme elle le faisait d’habitude, mais en plus en faisant le signe de la chèvre. Elle avait remarqué, durant l’entraînement, que ce tao l’aidé mieux à ce concentrer. Elle fit le procédé habituel et escalada, pied après pied, le tronc. Elle commença doucement, comme tout le temps, arrivé à l’intersection au niveau de la branche, elle continua et tout se passa bien. Une fois la tête en bas, elle sauta, pour redescendre, et ratterrit sur ses pieds.

* Et si j’essayais de faire ce jutsus de plus en plus vite, en courant pour gagner de la vitesse. Peut être arriverai je à comprendre Kuri ça m’entraînera dans ce domaine et peut être que je trouverai une faille dans sa technique d’attaque…*

C’est alors qu’elle augmenta sa vitesse, autan pour la concentration de son chakra, que pour monter sur l’arbre. Elle allait de plus en plus vite, tout en marchand, et formait toujours la même boucle : marcher sur le tronc, atteindre l’intersection, continuer sur la branche, sauter pour se retrouver par terre face à l’arbre et recommencer. Quant elle se sentit prête, elle couru doucement, puis de plus en plus vite, jusqu’à l’épuisement. Au bout d’une dizaine de circuit, en courant très vite, elle fatigua au niveau des jambes, alors elle s’arrêta et se reposa quelque minute, le temps de réfléchir.

*Bon … je vais m’entraîner au taijutsu maintenant.*

Atria parti se rafraîchir et prendre une craie afin d’écrire des repères sur l’arbre. Elle traça un cercle à environ 1,80 mètre puis un à 1,60 mètres représentant des têtes de hauteurs différentes, et commença à frapper l’arbre de toutes ses force, comme si c’était un individu néfaste. En plus de mettre de la puissance, elle commença à mettre de la vitesse. Seulement, plus elle allait vite et moins elle était précise. Remarquant qu’elle n’arrivait pas à bien viser ce qui se trouvait juste devant elle, la jeune fille plaça un point au milieu, avec la craie, et essaya de la fixer, puis recommença en ce concentrant dessus. Elle arriva mieux avec cette aide, mais ce n’était pas assez pour elle. Après une demie heure, elle compris que si elle n’arrivait pas c’était parce qu’elle était fatigué et ça n’était pas bon. La jeune Washiga n’arriverai pas à faire se qu’elle voulait si elle ne se reposait pas un minimum.

De retour chez elle, Luna avait déjà préparée à manger pour le soir, et malgré la fatigue qui prenait possession du corps d’Atria, c’est son estomac qui eu le dernier mot. Elle avait une faim de loup après tant d’effort et engloutit son assiette en quelque minute. Après ce dîner, elle monta dans sa chambre, ouvrit la porte et voulu s’allongea dans son lit. Seulement le matelas était encore par terre et elle n’avais pas le courage de la remettre, alors elle s’installa dessus et dormis jusqu’au lendemain matin.

Après une journée bien mouvementé, Atria se lève le lendemain matin, assez tard. Ne se doutant pas de l’heure qu’il était, elle se dirigea vers son armoire pris ses habits et alla se laver et se préparer. Ensuite, arrivé dans la cuisine, elle vit sa mère. Luna, toute étonné de la grasse matinée que venait de faire sa fille, la prévenu de l’heure tardive. Aussitôt la jeune fille alla prendre son petit déjeuné en vitesse, comme à son habitude, et sorti de chez elle se rendant à ses cours, en espérant qu’il est repris.

*Peut être que les cours vont reprendre ?*

Ensuite elle coura dans les ruelles pour arriver jusqu’à l’entré de la salle.

Fitz était passé cher lui avant d'aller cher Atria. Son air de zombie ambulant lui était passé, mais d'énormes cernes lui barrait le dessous des yeux, et malgrés le grignotage, il était encore extrémement affaiblis et devait utilisais se qui lui restait comme force pour ne pas le montrer. Lors de son passge cher lui, il s'était changé, avait bu un coups et mangé un morceau rapidement avant d'aller cher Atria, mais le soleil déclinait de plus en plus. Il avait finit de s'entrainer avec Rin aux alentours de six heures, et le temps de passer cher lui et de trouver la maison d'Atria, il était déjà presque sept heures. Lorsqu'il arriva devant la porte, il attendit, juste le temps de reprendre son souffle, qui lui manquait déjà à cause de la fatigue, avant de frapper à la porte. Alors qu'il frappait, il penser déjà à se qu'il lui dirait, mais rien ne lui venait à l'esprit. Il devrait improviser le moment venu, bien que, si se que lui avait dit Rin était exacte, il ne voyait pas pourquoi il devrait faire ses adieux à une personne pour au maximum trois jours d'entrainements. Peut étre cachait-il autre chose, mais avant qu'il est eu le temps d'y penser, la porte s'ouvra. Dans une derniére pensé, il espéra qu'il ne les dérangerait pas à cette heures de la soirée.

Atria allait préparer la table, pour manger, quand quelqu’un frappa à la porte. De suite la jeune fille se demanda qui cela pouvait être. C’est Luna, la mère d’Atria, qui alla ouvrir la porte. La jeune Washiga finissait de mettre la table, à toute vitesse, elle était affamée, comme toujours, et le plat que sa mère avait préparé était un délice. Attendant cette dernière, elle alla baver devant le plat. Son ventre se tortillait dans tous les sens et la bonne odeur de chaud venait lui effleurer les narines. Elle dévorait le dîner des yeux. Puis Luna l’appela.

" Atria, c’est pour toi, ton ami Fitz est là. "

La jeune fille étonnée, se demanda ce qu’il pouvait bien faire à une heure pareille chez elle. Elle alla vers la porte de sa maison et vit son camarade.

"Salut ! Qu’est ce que tu fait ici ? Tu veux peut être entrée ? Tu veux manger avec ma mère et moi ? Tu dois avoir faim."

Artia le harcelée avec ces questions, mais elle était contente de le voire, et aimait inviter ses amis, alors forcément pour elle ce n’était que habituelle.

La mére d'Atria, enfin d'aprés se que pensait Fitz, lui ouvrit. Il se présenta, puis lui demanda si Atria était là. Elle alla la chercher et le fit patienter quelques instants. D'aprés l'odeur qui s'échappait, Elles devaient étre entrain de manger, et Fitz commença à regretter d'étre venu si tard. Il n'aimait pas déranger les gens à cette heures la, et encore moins en plein repas. Lorsque Atria arriva, elle l'assaillis de questions. Fitz laissa s'étirer un sourire sur ses lévres. Toujour aussi bavarde et chaleureuse... Il aurait pu tomber sur pire cooéquipiére autant mentalement...que physiquement. Puis il se rendit compte qu'il l'avait détaillée de haut en bas sans méme répondre à ses questions, et le rouge lui monta aux joues.

*Boulet ressaisis toi on dirait un type bloqué la bave à la bouche devant une fille*

" Bonsoir Atria. J'espére que je ne vous dérange pas. je passais juste pour te parler, mais bon, si tu m'invite si gentiment, je ne pourrait pas refuser. Merci".

Aprés cette derniére phrase, il sourit, béatement, stupidement, attendant devant la porte telle un idiot. Jamais il ne c'était sentit aussi stupide, et rien que de pensait à se qu'il avait à lui dire son malaise empirait.

Atria remarqua que son camarde était bizarre. En effet celui-ci la regarda et se mit à rougir sans qu’elle ne sache pourquoi. De plus il n’avait toujours pas répondu à ses questions. Au bout d’un moment il ouvrit la bouche. La jeune fille était très contente qu’il accepte de venir manger et le laissa entrer. Mais celle-ci vit son sac à dos sur ses épaules, comme s’il voulait partir.

« Ne reste pas dehors. »

Après l’avoir fait entrée la jeune fille lui indiqua l’endroit où il pouvait poser ses affaires. Son sac à dos était blindé et elle se demandait bien pourquoi. En attendant qu’il finisse de tout poser, elle retourna voir le plat de ramen. Sa mère savait les faire à la perfection et rien que dit penser elle en avait l’eau à la bouche. Ensuite elle alla s’assoire à sa table.

« Fitz c’est prêt! » Avertit Luna.

« Ouuaa j’ai trop faim ! Alors au faite tu ne m’as pas dit ce que tu faisais à cette heure ci dehors ? Avec ce gros sac ? »

La jeune fille pouvait être très curieuse et rien ne lui échappé, ou presque. Elle patienta, que tout le monde arrive, et commença à manger. Elle regarda discrètement Fitz il n’était pas comme d’habitude et elle ne savait pas ce qui pouvait tant le distraire. Peut être en serait elle plus pendant le repas ?

Atria et sa mére étaient trés acceuillantes. Telle mére telle fille pouvait on dire, mais la mére était bien plus sage que la fille et savait contenir sa curiosité, méme si les questions ne dérangeaient pas Fitz. Ils commençérent à manger l'excellent plat de Ramen préparé par la mére d'Atria, qui ravit Fitz au plus haut points, mais il fit quand méme attention à ne pas passer pour un porc, et mangea tranquillement, proprement, tout en savourant la nourriture, qui lui fit le plus grand bien aprés l'entrainement du Kazekage. Se retrouvait à la table d'une amie, avec sa famille était agréable, mais sans savoir pourquoi, à chaque fois, Fitz éprouvait un sentiment de manque, de nostalgie ,mais aussi de colére envers sa "famille", celle qui se composait d'une mére infidéle et d'un pére abonnant son village, surement mort à l'heure qu'il était, celle qu'il avait préféré renier, presque au point de le déprimer, mais il était invité, et restait souriant, car il appréciait cela. Ces deux sentiment contradictoires étaient mélé en lui, et ajouté à se qu'il devais faire, il avait comme un poids sur l'estomac. Fitz, qui essayait tant bien que mal de ne pas se montrer étrange, soupçonna Atria de se douter de son malaise, car c'était une fille intelligente qui ne laissait que peu de détail lui échapper. Elle avait remarqué le sac à dos. Intérieurement, Fitz était heureux de l'avoir comme cooéquipiére, mais le fait qu'elle arrive à lire en lui le dérangeait. Il était prét à tout pour ses amis, mais ne voulait en aucun cas les meler à des choses ne les regardant pas.

*Faite se que je dis mais pas se que je fais... tout à fais moi...*

Fitz sourit lorsque Atria parla. Lui aussi avait faim, mais c'était tout à fais mal polis de le montrer cher les autres, et il fut un exemple de bonne maniére.

" He bien, ta mére doit avoir un mal fou à te rassasier !"

Puis il fit une pose et reprit une bouché de Ramen, dont l'odeur flotttait jusqu'à ses narines telle le parfum d'une magnifique rose.

"Et pour répondre à tes questions, j'ai se sac car je pars m'entrainer avec le Kazekage, et il m'a conseiller de faire mes adieux à la personne m'étant le plus cher, car d'aprés lui au moins 3 jours d'entrainement sont nécessaire à la réussite de mon apprentissage. J'ai donc dans se gros sac de quoi tenir au moins cinq jours, on ne sait jamais. Donc comme tu as du le comprendre je suis venu à cette heures pour te faire mes adieux, car tu doit étre la seule personne que je connais vraiment et qui est cher à mes yeux."

Puis il se tut. Il n'avait pas rougit se qui l'étonna fortement. Il se sentait aussi bizarre, mais ne savait absolument pas pourquoi. Il espérait qu'elle ne s'inquiéterait pas. Ce n'était qu'un entrainement, malgrés la réputation de tueur d'élèves qui précédait Rin. Il survivrait, et il reviendrait, plus fort et plus aptes à sauver son entourage. C'était un passage nécessaire afin de devenir plus fort, méme se cela risquait de mal finir, il devait le faire, ou plus jamais il ne pourrait regarder quelqu'un dans les yeux. Il attendit donc, souriant gentiment, presque tendrement en direction d'Atria.

Atria écouta Fitz et resta immobile, bouche bée. Elle ne savait pas trop se qu’elle devait faire. Se réjouir qu’il est pensé à elle. C’est vrai qu’elle était présente dans sa vie depuis qu’ils étaient devenus étudiants. Atria apporter beaucoup d’importance à l’amitié, avec le peu qu’elle se souvenait de sa vie et ses amis, c’était devenue important pour elle. Grâce à Fitz et Kuri, elle avait réussit à redécouvrir l’amitié et c’était une quelque chose qu’elle ne pouvait désormais ce passer. Alors forcément quand son camarade lui avait dit ça, elle en était contente de voire que ce qu’elle ressentait était réciproque. Mais elle était aussi triste d’entre le mot «Adieux». Pourquoi faire ses adieux, si ce n’est que pour s’entraîner ? Certes il y allait avec le Kazekage et il n’avait pas très bonne réputation en ce qui concernait les entraînements avec les élèves. Mais il allait revenir quand tout serait finit, donc pourquoi des adieux ? La jeune fille resta inerte regardant Fitz. Elle laissa tomber de sa main les baguettes qu’elle tenait, sans même s’en rendre compte.

« Mais ... Tu vas que t’entrainer, hein ? Pourquoi ... pourquoi il ta dit de faire tes adieux ? »

La jeune fille habituellement joyeuse, était devenue triste et aucun sourire ne se faisait voir sur son visage. Elle ramassa ce qu’elle avait fait tombé, et les posa. Elle s’imagina toute sorte de choses dans sa tête. Pour elle le mot « adieux » était représentatif de « mourir ». Elle s’imaginait le pire, ce qui était normal vu ce qu’elle avait subit. Maintenant qu’elle savait, ou qu’elle pensait savoir, comment son père était mort, elle ne voulait en aucun cas que ça arrive à quelqu’un d’autre. Elle baissa légèrement la tête et essaya d’effacer toutes ces mauvaises pensées. Puis elle regarda Fitz, un petit sourire un peu crispé, apparu sur ses lèvres.

« Mais c’est quand même une bonne chose que tu aille t’entraîner. En plus avec le Kazekage, donc tu as intérêt à faire des progrès. »

Son sourire naturelle et doux était revenu. Il ne fallait plus qu’elle repense à se genre de choses, sinon elle allait déprimer pour le reste de la soirée et comme Fitz était son invité sa aurait était un peu déplacé. Mais son inquiétude ne pouvait que rester malgré tout.

Atria fut boulversée. Elle lacha ses baguettes, son appétit disparus, mais surtout son rayonnant sourire quitta son visage. Fitz se maudit de ne pas avoir utilisé un autre mot que celui d'adieux, bien trop fort, enfin il l'espérait, mais maintenant c'était trop tard. Elle baissa la téte, devenant toute triste et presque muette. Cela serra le coeur de Fitz. Elle ne devait pas se faire du mal pour lui, et encore moins s'en inquiéter. Il ne fallait pas 'inquieter pourlui, lui seul avait le droit de s'inquiter pour les autres. Il ne put s'empécher de laisser le sourire lui barrant le visage partir, lui aussi. Il lui effleura la main, dans un geste de réconfort, avant de la regarder dans les yeux. Elle fit tant bien que mal renaitre un sourire sur ses lévres, mais la tristesse de ses yeux, ses beaux yeux bleu, ne disparut pas.

"Atria, je ne sais pas non plus pourquoi je doit faire mes adieux uniquement pour un entrainement, mais une chose est sur, je reviendrais plus fort. Mais promet moi quelques choses. Ne t'inquiéte pas pour moi, je reviendrait. Et puis ton beau visage ne vas pas avec cette tristesse. Sourit, je n'aimerait pas que la dernier fois que je te voie soit dans la tristesse ou dans l'inquiétude. "

Fitz avait laissé parlé son coeur. Il espérait qu'elle arréterait de s'en faire pour lui. Il n'aimait absolument pas faire souffrir les gens, bien au contraire, les voir joyeux le ravissait. Il se sentit honteux de l'avoir inquietée ainsi. Il la regarda, et lui souria encore une fois, un sourire chaleureux comme on aimrait en voir tout les jours, un sourire qui vous fais sourire à votre tour. Elle devait lui faire confiance et ne pas s'angoisser, ou il ne pourrait pas se le pardonner.

" Alors, tu t'inquiete pas hein ? promis ?"

Atria était trop sensible sur ce genre de sujet et le faite que Fitz lui aille dit ça n’arrangeait rien. Il essaya tan bien que mal de lui remonter le moral. En faite ce n’était pas vraiment le faite qu’il parte, qui la rendait aussi triste. Il était évident qu’il reviendrait plus fort de son entraînement, et peut être même plus fort qu’elle, mais ce qui la dérangeait c’était ce mot. Elle avait comme une impression de déjà vu. Cette sensation que l’on a déjà était à cet endroit, ou que l’on a déjà dit ça à une personne. C’était vraiment bizarre et curieux, mais elle ne pouvait l’expliquer. Elle sentit la main de Fitz lui effleuré la sienne, elle leva la tête et le regarda, droit dans les yeux. C’était étonnant de la voire dans cette état. Son aire souriante et joyeuse était devenue inquiète et mélancolique. Son regard aussi avait changé.

Mais toutes cette peine, réveilla sa mémoire défaillante. Elle se perdit dans les yeux de son camarde et rêva toute éveillé. C’était comme une sorte de flash-back qui ne dur qu’une seconde pour les autres, et n’ont le temps de rien voir, mais qui dure plusieurs minutes pour la personne concernée. Ses souvenirs se mirent en marche et une partie d’obscurité sur son passé s’éclaircit.

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« Papa, on va où ? »

La petite fille questionnait son père toute les deux minutes. Celui-ci voulait lui montrer un endroit qu’il disait magique. Mais il n’en dit pas plus et se tue tout le reste du chemin.

« Papa c’est encore loin ? J’ai des petites jambes moi !! »

Il la regarda et sourit. Un sourire si apaisant et beau. Son visage s’éliminait dès qu’il souriait.

« Patience ! On y est presque. »

Au bout de dix minutes de marche à travers le village, ils arrivèrent aux portes, et traversèrent un peu le désert. Ils restèrent à côté du village car c’était dangereux de s’éloigner de trop.

« Voilà on y est ! »

La petite regarda son père bizarrement.

« Ba c’est le désert ! Qu’est ce qu’il y a de si magique ? »

Elle était encore petite pour comprendre certaines choses et son père ne pouvait lui expliquait, car elle ne comprendrait pas. Pour lui ce qu’il y avait de magique c’était cette espace, ce léger vent qui caresse le visage et cette infinité de sable ... cette liberté. Le vent était une chose qu’il aimait et il transmit cette sensation de bien être à sa fille. Il s’assit par terre, sur le sable, et la petite fit de même, puis ils s’allongèrent regardant le ciel bleu et le peu de nuages qu’il pouvait y avoir.

« C’est bientôt finit ... » Dit il tout bas, sur un ton de désespoir et de tristesse.

La fillette faisait semblant de ne pas entendre, mais elle n’était pas bête, loin de là. Puis ils rentrèrent doucement. Sur le chemin, le père de la petite lui répéta sans cesse la même choses : « je t’aime », ou encore, « ta maman sera toujours là pour toi ». Bref tant de choses étranges, mais elle ne fit pas attention. En fin de journée, la petite alla chez une amie des parents, qui avait elle aussi une petite fille, mais c’était flou. Dans ce flash back Atria ne reconnu pas la petite fille et ne voyait pas son visage. Son père était assez nerveux et sa mère avait un regard vide et à la fois triste.

« Bon tu va passer la soirée chez ton amie, et tu reviendras un peu plus tard après manger. » Dit il en la regardant.

Il baissa un moment la tête, elle ne voyait pas ce qu’il faisait, mais quand il se releva elle vit des larmes coulaient le long des ses joues. Mais les mots ne sortaient pas et la petite ne disait rien. Elle les regardait ne pouvant rien faire d’autre. Après les larmes un sourire se fit voir sur les lèvres de son père.

« A tout à l’heure ... Adieu ... »

Et après tout s’embrouille, ses visions était dans le désordre, jusqu’à ce qu’elle revoie son cauchemar, mais en saccader. Son père allongé par terre, les ruelles obscures, la nuit, les deux personnes qui s’enfuient .....

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Atria était revenu à elle. Elle venait de comprendre pourquoi ce mot la bloquait tant, mais aussi d’autre détaille, comme le visage de son père dans ces souvenirs. Une chose qui était devenu rare depuis un long moment. Elle venait de revivre en quelque seconde, la journée de la mort de son père. Atria ne bougea pas. Il fallait qu’elle se ressaisisse, qu’elle dise un mot quelque chose à Fitz.

" Alors, tu t'inquiète pas hein ? Promis ?"

Son regard toujours rivé sur lui, les mots ne venaient pas.

*Allé dit quelque chose ...*

Un court instant ce fit attendre

« D’accord ... je ... je ne m’inquiéterai pas » dit-elle, le sourire revenant au fur et à mesure « Et puis ce n’est qu’un entraînement, tu reviendra d’ici 3 jours minimum. Il va falloir après que je rattrape mon niveau, si tu deviens plus fort. »

La jeune fille reparla au bout d’un petit moment et retrouva son sourire. Il fallait qu’elle ce fasse un raison, son père était mort mais pour une tout autre raison, qu’elle ne connaissait encore pas. Fitz allait apprendre, de cette escapade, encore plus de choses qu’il ne savait déjà. Elle ne voulait pas non pus gâcher sa dernière soirée à Suna et ainsi décida d’arrêter de s’inquiéter comme il lui avait demandé, mais surtout de ne pas parler de ce qu’elle venait de se souvenir.

Elle repris ses baguettes et continua son repas. L’ambiance était redevenu normale, mais Atria essaya d’éviter le sujet en n’en parlant pas. A la fin du repas, elle lui redemanda une dernière chose. Et oui elle était curieuse, et voulait savoir ce qu’il allait faire.

« Tu sais ce que tu vas apprendre un fois là bas ? »

Elle ne voulait pas l’embêter avec le tas de questions qu’elle avait encore, mais voyant la soirée se terminer, elle ne put résister. Mais même si elle avait retrouvé le sourire il y avait tout de même une par d’inquiétude.

Fitz cru avoir blessé Atria une nouvelle fois lorsqu'elle baissa la téte. Il se maudit encore une fois intérieurement d'étre aussi stupide. Puis, elle releva la téte, et le regarda pendant de longue minutes sans parler, comme déconectée de la réalité, puis elle reprit la parole, lui prommetant de ne pas s'inquiéter. Son sourire lui revenait, et Fitz se surprit méme à le comtempler, réveur, elle était bien plus mignonne quand un sourire illuminait son visage et ses grand yeux bleu... Le repas reprit bien plus joyeux que pendant se moment. Depuis son absence Atria paraissait étrange, souriante, mais étrange, comme si elle voulait cacher quelques choses, se qui intrigua et inquité Fitz. Il fallait qu'il lui demande, car s'il venait de lui faire promettre de ne pas s'inquiéter pour lui, il ne lui avait en aucun promit autant. Tout au long du repas, il fit en sorte de toujours avoir un oeil sur elle, mais se qu'il ne s'avoua pas, c'est qu'il commençait à être attiré par Atria, et il le camoufla sous le prétexte de son attitude étrange. il s'en rendit compte un peu plus tard, et un conflit intérieur s'engagea. Il ne la connaissait que depuis peu de temps, méme s'il l'apprécié énormément... Et puis se sentiment... de l'amour ? Pourquoi maintenant ? c'était absurde...mais pourtant bien vrai. Que devait il faire ?

Ayant continué à parler, jusqu'à la fin du repas, le sourire d'Atria ornée son visage, que Fitz n'avait pu quitter des yeux à son grand dam. Il se sentait idiot, mais ne pouvait rien faire contre. Lorsqu'elle le racompagna à la porte, une forte émotions étreignit Fitz. Au fond de lui , il ne voulait pas la quitter, mais il le devait. Puis, sur un coups de téte, il se tourna vers elle, puis l'enlaça, avant de l'embrasser. Son odeur, sa peau si douce, ses lévres chaudes... tout était un délice... Puis, il reprit le contrôle de lui méme. Le rouge lui monta aux joue, et il se retourna, par honte avant de lui balbutier quelques excuses.

"J...Je suis désolé Atria...je... sais pas trop se qui m'a pris..."

Il attendit, priant pour qu'elle le pardonne de cet actes stupide. Quand apprendrait il à controler et bien extérioriser ses sentiments...

Sur le coup elle recula légèrement, mais pas suffisamment. Atria ne bougea plus. Elle ne s’attendait pas à ça. Qu’il lui saute au cou elle aurait compris mais qu’il l’embrasse. Elle ne pensait ne pas avoir montré ce qu’elle ressentait et n’avait pas pensé à une éventualité de sentiments autres que d’amitié. Elle ne savait que faire ou même que dire, à part le regarder mais les mots ne sortait pas. Sa principale idée du moment était de travailler et de devenir une bonne Kunoichi. De plus c’était déjà le fouillis et le brouillard total dans son esprit, submergé par les questions sur son passé, et des souvenirs qui resurgissaient. Tout était de plus en plus flou pour la jeune fille, et malgré son jeune âge, elle ne savait déjà pas trop où elle en était, mais maintenant elle ne savait plus du tout. Jamais elle n’avait songé à avoir ce genre de sentiments pour quelqu’un.

Fitz était devenu écarlate et s’excusa à la seconde même. Atria était comme bloqué. Cependant il avait réussit à allumer une petite étincelle dans ses yeux. Peut être aussi certains sentiments cachés et inavoués, mais ce n’était pas son objectif en entrant à l’académie : elle avait un nindo à remplir et se sentait trop jeune pour s’investir. Mais qu’est ce qu’elle connaissait de l’amour ? A vrai dire rien du tout. Elle voulait lui dire qu’elle n’était peut être pas prête, mais pas prête pour quoi ? Elle savait au fond d’elle, que Fitz ne la laissait pas indifférente, mais elle était trop indécise, elle se posait beaucoup trop de questions pour une enfant de son âge. Ce qu’elle ressentait n’été pas du tout en accord avec son ésprit. C’était pourtant plus simple que ça.

Ce qui la dérangeait, était aussi la peur de perdre, encore, une personne qu’elle aimait. Quand son père était mort, inconsciemment sa mémoire s’était effacée. En plus de souffrir, elle ne se rappelait plus de rien et elle ne voulait pas que ça recommence ... perdre un être cher...
Mais bon tout ça ne faisait pas avancer les choses et Fitz attendit une réponse. Atria ne pus lui faire qu’un timide sourire, elle ne savait que dire, ni que faire. Elle espérait qu’il ne comprenne pas une réponse négative, elle ne pouvait lui en vouloir pour ça, mais juste un petit « Ce n’est rien » ou « c’est pas grave ».
Dans tous les cas Fitz allé partir pendant un petit moment et ils auraient certainement plus le temps d’en reparler après...

Atria ne dit rien. Fitz non plus. Aucun des deux ne savait que dire, ou méme que faire. Ils restérent ainsi plusieurs secondes semblable à l'éternité. Fitz se sentait honteux, mais il n'arrivait plus à ouvrir la bouche. Il n'aurait jamais du faire une chose pareille, mais il était trop tard. Il pria pour que cet actes irréfléchis ne dégrade pas leur relation, mais quelque part, il entendiat comme une voie, une autre priére, mais celle ci d'un tout autre genre. Il compris rapidement se que cette voie disait, et il ne pouvait nier la vérité. Fitz voulait qu'Atria tombe amoureuse de lui. Il voulait qu'elle reste à ses côtés. Ensemble. Il sentait encore le fabuleux gout de ses levres, la douceur de sa peau... Il n'arrivait pas à l'effacer. Il avait succombé à un acte de pure passion, et il craignait qu'elle lui en veuille. Il était bloqué. Il n'arrivait pas à parler, ni méme à bouger. Son esprit comme son corps était entiérement bloqué, mais méme s'il avait pu, il n'aurait su que faire. Il réussit finalement à se retourner vers Atria. Celle ci ne disait rien elle non plus. Tout comme lui, elle n'aurait pas parler. Seul son sourire continuait de vivre sur ses lévres, mais extrémement moins fort. Ils restérent un long moment ainsi, à se regarder. Malgrés se qui venait de se passer, Fitz n' pouvait s'empécher de la comtempler. Méme faiblissant, son sourire faisait rayonner son visage. Ses yeux bleu contrastaient avec sa longue cascade de chevelure dorée. Tout en se sentant honteux, il était subjugé par sa beauté. Il était fou d'elle et ne s'en rendait vraiment compte que maintenant. Il s'approcha d'elle, lui prit la mains, juste pour pouvoir profiter une derniére fois de son toucher, puis, le regard triste, tourna le dos, et partit. Il chuchota ses derniére paroles tout en continuant d'avancer.

"...Au revoir, merci... et surtout, désolé..."

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Plusieurs jour aprés cet adieu, Fitz était de retour. Il avait accomplie son entrainement malgrés quelques contre temps, comme l'empéchement du Kazekage. Il avait donc du apprendre auprés du Kazekage remplaçant, Kotaro Fuuma, mais sa formation c'était relativement bien passé. Il arborait maintenant un bandeau sur laquelle était dessiné une croix rouge, qu'il portait à l'épaule droite, ainsi qu'une boite d'outil médical, tout deux offerts par Kotaro. Il était donc de retour devant cette maison, cette porte... Il apréhendait, tout en sentant l'impatience boullir en lui. Elle lui avait manqué plus que tout, mais il ne savait toujours pas si elle lui pardonnerait son actes avant son départ. Il se prit à espérer un pardon, et méme plus, puis, pris son courage à deux mains et frappa à la porte.

Atria était avec sa mère en train de cuisiner, une chose que la jeune fille n’aimait pas vraiment : elle préférait manger les bons plats qu’on lui faisait, mais pas les faire. Elle regarda son gâteau désespérément : il avait une forme qui ne ressemblait à rien, la farine se faufilait partout dans les petit recoin, autant sur la table que sur son tablier ou même sur ses joues et le bout de son nez. Un vrai champ de bataille. Luna, quant a elle, prépara une pâtisserie aussi bonne au regard qu’à la senteur.

Atria regarda par la fenêtre, avec un petit aire mélancolique, dessinant des dessins, dans la poudre blanche, qui traînée. Elle avait plus envie de flaner dehors, comme à son habitude, plutôt que de rester au fournot. Quand elle entendit frapper à la porte et, comme pour se libérer d’un poids, elle se précipita à la porte. Elle pris la clenche dans sa main, le tourna afin de l’ouvrir.

A sa grande surprise, Fitz se trouvait devant elle. Atria le fixa sans le quitter du regard. Elle était si heureuse de le revoir après son absence et en bonne santé. Cette joie pouvait se lire dans ses yeux et sur son visage qui était illuminé. Elle eu un moment d’absence, se remémorant la scène de son départ, au même endroit. Elle ne pouvait pas faire comme si rien ne s’était passé, ni sans lui dire se qu’elle ressentait, alors par un fort enthousiasme, celle-ci se jeta dans ses bras, l’entourant des siens. Elle le sera fort contre elle, comme pour lui faire comprendre toutes les choses qu’elle n’avait pas réussit à lui dire la dernière fois.

« Tu m’as manqué ... »

Atria ne voulait plus attendre, il fallait qu’elle en parle et sans lui demander quoique sa soit elle se retira doucement, se retrouvant face à lui et lui rendit son baisé de la dernière fois.

Lorsque la porte s'ouvrit et Atria lui offrit un visage illuminé et alors que Fitz ne s'y attendait pas, elle se jetta sur lui pour le serrer contre elle. Fitz ne put s'empécher de rougir, mais il crut ensuite rever. Elle l'embrassa comme lui avant son départ, et il se sentit heureux à un point... C'était du bonheur pur qu'il pouvait ressentir, mélé à son amour pour Atria. Il l'attira contre lui, et prolonga le baisé jusqu'à ne plus avoir de souffle. Se moment se grava dans sa mémoire. Jamais il ne pourrait l'oublier. Il était le plus heureux aujourd'hui et espérait bien que cela durerait.

"Toi aussi tu m'a manquée..."

Puis lui prenant la mains, il la serra une nouvelle fois dans ses bras. Il lui écarta une méche de cheveux et la regarda droit dans les yeux, d'un regard passionné. Il était captivé par sa beauté, qu'il retrouvait enfin. Il était aux anges, ses plus folles espérance, ses réves les plus fou étaient devenus réalité.

" Je crois que je peut le dire sans avoir peur : je t'aime..."

Puis, il se remit à la comtempler. Elle était la prunelle de ses yeux, la choses qui comptait le plus pour lui, un rayon de soleil, une pierre précieuse...Elle était son coeur.

Atria était aux anges. Elle aurait voulu que le temps s’arrête, pour profiter un peu plus de ce moment magique. Fitz était si doux et calme, un « nouveau Fitz » intentionné et romantique qu’elle allait bientôt apprendre à connaître. C’était un plus dans la vie de la jeune fille, un plus qui pouvait être aussi positif que négatif. La vie était tellement imprévisible et les déceptions si grande. Il ne fallait pas qu’elle se relâche dans ses entraînements, ni qu’elle perde de vu son objectif.

" Je crois que je peut le dire sans avoir peur : je t'aime..."

Les yeux écarquillaient, Atria eu, tout de même, une crainte : ce sentiment d’amour, qu’elle ne connaissait pas encore, jamais elle ne l’avait partagé avec quelqu’un d’autre que son père, même si ce n’était pas tout à fait pareille, la place était toujours dans le cœur. L’étudiant était plus direct et osé dire les choses, mais pour la jeune Washiga ce n’était pas si simple. Le temps ferait sûrement le reste. Elle avait déjà éprouvé cette appréhension avant que Fitz parte, une peur qu’elle aurait toujours quoiqu’il arrive : celle de le perdre. C’était déjà arrivé une fois, elle ne voulait pas le subir une deuxième fois. Atria savait que si elle restait dans cette optique elle n’avancerait pas, mais c’était plus fort qu’elle.
Mais l’heure n’était pas à ça, elle devait profiter de cet instant présent. Le nouveau couple se regardait fixement, les yeux brillants d’amour et de bonheur. Elle sourit doucement, lui avouant aussi son amour.

« Je t’aime aussi... »

Puis, son cœur battait d’une vitesse, elle l’enlaça, avant de l’embrasser une nouvelle fois.

» [lieu] Maison Kosama
» Maison de Kogane
» Mission de rang D: Washiga Atria et Kosama fitz
» [Entrainement Atria Washiga] le rocher au milieu du desert