[Lieu] Le Magasin de Magoto

Le magasin de magoto

Dans de petites ruelles tranquilles, un vieux fou tiens une boutique. Cette boutique semble rustique, mais elle est pourtant un bâtiment neuf. Le bois y est propre, les vitres bien entretenues. Le vieux fou, Irogo Magoto est un calligraphe alcoolique qui vend de tout et de rien. Sa quincaillerie, très petite, entrepose une énorme quantité d’objets en tout genre.
Lorsque vous rentrer, vous tombez simplement sur un comptoir de bois, entouré de bricoles en tout genre. Dans ce fourbi, vous trouverez probablement votre bonheur. Autrement, si le courage vous en dis, vous pouvez toujours essayé de réveiller l’homme qui décuve pour lui demander un renseignement..

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L’animal risquait de ne pas être à l’heure. Il était rare ! Mais il fallait agir vite. La mission n’attendais plus, le rendez vous était clair. Entrant en trombe dans le petit magasin, il aperçu l’état d’un vieux vendeur en train de cuver son alcool. Affalé sur la table, il n’hésita pas à le déranger franchement et proclama sa présence d’une voie puissante et tonitruante.

« Salutation vieille homme, il est l’heure de vous réveiller. Le client est pressé ! » Annonça t-il rapidement. L’homme leva un œil irrité sur son nouveau client. Il se leva, et bailla longuement avant de s’intéresser à l’animal qui ne patientait plus. L’ours, de son calme ‘éternel’ s’exprima très rapidement mais distinctement. On sentait un certains agacement envers cette homme qui n’avait plus d’intérêt que pour sa bouteille. Même son magasin semblait être délaissé.

« Au plus vite ! Je désire acheter une boite de braise, 4 litres de saké et une petit note explosive» L’homme, sans un mots, s’en retourna dans son commerce. Lieu où il disparu, pour ne plus jamais revenu. Les doigts puissants de l’animal frappaient le comptoir. Que faisait cette ivrogne, était-il tombé dans le coma ? Finalement, l’homme revint, avec un petit sac. A penne il eut ouvert la bouche, que quatre vingt quinze ryos étaient posé sur la table. L’homme constata alors que ses mains étaient vides, son sac avait disparu. En relevant les yeux, il pu constater que la porte se fermait, l’ours était déjà loin… Ainsi, il se rallongea péniblement sur le comptoir. *Merci vieil homme*

Bien sûr Nakigoe, pour ne pas inquiéter ses parents, enfin surtout sa mère avait sur son départ plutôt précipité. Mais l'heure était assezplutôt beaucoup grave d'après ce qu'il avait pu comprendre. D'auta,t plus grave vu la précipitation des choses. C'est pour cela qu'il décidq de passer faire les magasins, non pas pour se refaire une garde-robe, mais pour se défendre.

Ayant un peu d'argent sur lui, il trouva necessaire de qu'équiper un peu. Il fit alors une liste de tout ce dont il aurait besoin là-bas. Et finalement, heureusement qu'il avait quand même beaucoup d'économie sur lui! Devant le magasin de Magoto, le coeur un peu palpitant il y pénetra. L'homme, lenez tout rouge semblait en état de recevoir une commande. Il s'approcha du regard et salua l'homme.

"Bonjour, euh... j'ai fait une liste de ce dont j'aurai besoin dans l'immédiat...et euh" voyant que l'homme était assez vaporeux dans son attitude il lui donna la liste en question

Citation :

1 sacoche
1 étui à kunaï
3 Kunaïs
20 m de fil transparents
1 parapluie
50 sembons
1 Havre sac moyen
1 note explosive normale
3 notes explosives mineures

Les yeux du vieil homme louchèrent, beaucoup de choses étainte écrites sur le bout de papier. Faisant plusieurs aller retour pour chaque articles, au bouts de 5 minutes tout ce qu'avait demandé Nakigoe se trouvait devant lui

"Alors... ça fera... pfiouuu. Alors. Une retenue. Euh 1205 Ryos..."

Nakigoe sans broncher sortit de sa pocheassez d'argent pour payer.

"Voila pour vous monsieur!"

Il entreprit de ranger meticuleusement ses affaires, puis s'en alla d'un "aurevoir"

A peine le courant d'air fut passé qu'un nouveau client arriva dans la boutique. Le Chuunin Dokara venait de voir la silhouette de Tensui dans le lointain ce qui ne l'inquiéta guère. L'ours et la ponctualité ne faisait qu'un mais cela paraissait exagéré pour l'Akane qui n'apprécier pas trop les longs discours avant la bataille, alors il ferait ses emplettes tranquillement. Arrivant au comptoir il se permit d'abord de réveiller le vendeur en secouant sa petite bourse sous son nez qui émettait le doux cliquetis des pièces s'entrechoquant, pour ensuite prononcer rapidement sa commande.

"Bling bling ! Hey l'ami ! Un client pour toi !"

"J'aurai besoin de deux notes explosives normales si c'est possible."

Le vieil homme rentra dans l'arrière boutique pour s'emparer de la commande et la déposer sur le comptoir pendant que Dokara faisait le compte de sa monnaie.

"500 Ryos mon petit"

"J'espère qu'à ce prix là, elles vont faire mal."

Dokara posa péniblement la somme demandée et s'empara de son butin, jetant une dernière petite remarque il tourna aussitôt les talons pour aller point de rendez-vous.

Hokori arriva finalement à la boutique. Son entré timide ne réveilla pas le vieil alcoolique qui s’était avachit dans un fouillis monstre, à son comptoir. Le garçon s’approcha insistant à chacun de ses pas. L’ivrogne collé au bois dormait à point fermé. Le garçon n’avait pas le temps de jouer, son entraînant allait bientôt commencer et les retardataires n’étaient pas les biens venus. Le gamin réveilla l’ivrogne d’une petite tape amicale dans le dos. Celui-ci sursauta et dans un élan de bonne volonté mélangée d’un grand bâillement anticipa la demande du garçon :

Qu’est ce qu’il te faut jeune homme ?

J’aurais besoin d’une boite d’allumette s’il vous plaît.

Le vendeur qui somnolait encore sur place fit répéter le garçon plusieurs fois..

A baa ici c’est une armurerie mon garçon pas un supermarché. Bon je vais voir si je peux quand même d’aidé.

Le vendeur sortit un carton poussiéreux de son comptoir pour finalement en extraire, après moult tentatives, une boite d’allumette.

Tu as de la chance c’est ma dernière. Cela te fera 30 Ryos.

30 Ryos !!

Et oui mon garçon la vie est chère à kiri et il faut bien que je me nourrisse moi.

Oui c’est sa !! Surtout que tu paye ton vin!! Pfff

Le jeune homme jeta d’une manière désinvolte quelques pièces sur le comptoir, puis après avoir salué le calligraphe, s’effaça dans la lueur du soleil encore pesant.

Kirue entra dans la boutique poussièreuse. Il était pressé, alors ne s'y attarda pas.

"Bonjour, je voudrais 6 kunais, 10 shurikens et du fil de nylon."

"Voila, ça fera 350 ryos."

*C'est cher....*

Kirue paya la somme.

"Voila! au revoir!"

Kirue entra en trombe dans la boutique, hors d'haleine.

"Bonjour, 2 bombes aveuglantes s'il vous plait!"

Le vieux vendeur farfouilla dans son arrière boutique. Il revint avec deux boules jaunes, avec le Kanji "lumière" calligraphié dessus. Il les posa sur le comptoir.

"Voila, ça fait 400 ryos."

"Tenez. Merci, aurevoir et bonne journée!"

Kirue sorti aussi vite qu'il était arrivé.

Uryu entra de le restaurant les mains dans les poches, une mission venait de lui être confié et il ne voulait pas partir les poches vide. Il chercha dans les étalages un instant avant de trouver ce qu'il cherchait. Il agrippa les Fils transparent de shinobi et les déposa sur le comptoir. Le caissier regarda le jeune homme peu loquace et prononça ces quelques mots.

"cents ryos gamin"

Uryu déposa doucement les ryos sur le comptoir avant de tourner le dos aux types de la boutique et de sortir comme il avait fait son entrer, il était temps de commencer cette mission...

Hokori était venu quelques jours avant et à sa grande surprise le magasin était vide. Aucun article n’arpentait les rayons de bois. Les étagères supportaient la seule poussière que cet interminable faignant ne s’était pas donner la peine d’enlever. L’alcoolique vendeur avait encore une fois oublier de passer commande. Le jeune homme avait formuler sa maigre requête et s’en était aller.

Trois jour après.

Hokori comme convenu avait laissé trois lunes s’écoulées avant de revenir au fin fond de la forêt. il entra dans le magasin. La cloche retentit, mais personne.

Mais ou est-ce qu’il est encore partit picoller celui la.

Pas de temps à perdre, sa mission n’allait pas se faire sans lui. Il déposa ses quelques ryos sur le comptoir pris ses deux notes explosives normales et repartit de se pas.

HRP 500 Ryos les deux notes explosives normales

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