[Magasin] Armurie D'Iwa

Sanosuke expliqua la situation a son senseï qui comprit rapidement l'intérêt de Sanosuke pour être là...

" Très bien Meshiroï-senseï. Les scandales d'entrainement se trouvent là bas, à côté des gants d'étouffement, je vous rejoins dans une seconde avec la règle pour mesurer les dimensions de votre pied à moins que vous connaissiez votre pointure ? Après je vous laisserai les essayer, les tailles sont marqué à l'intérieur des scandales, pendant ce temps je vous préparais vos autres achats, vous voulez ça dans un parchemin où en ... nature ? "

J'ai mes propres parchemins merci. A moins qu'il soit gratuit héhé...

Et toi Bunshichi, tu veux quelque chose de précis ?

Meshiroi s'en alla essayer les sandales, et lorsqu'il trouva ce qu'il lui fallait il les passa à Sanosuke. Et paya le prix qu'il fallait...

Invité

Bunshichi resta dans le fond du magasin avec l'énorme épée sur le dos et regarda Meshiroi commencer ses emplettes.

Et toi Bunshichi, tu veux quelque chose de précis ?

"Euh, non merci ! J'ai plus à faire au magasin de calligraphie. mais prends ton temps, je t'attends."

Puis il regarda un peu autour de lui, les nouveautées du magasins, etc... tout en attendant Meshiroi.

"Euh, non merci ! J'ai plus à faire au magasin de calligraphie. mais prends ton temps, je t'attends."

Ok, je me dépêche quand même !

Meshiroi s'en alla essayer les paires de sandales, il prit rapidement sa pointure, l'essaya, prit la poiture plus haute, elle allait mieux. OK.
C'était bon, il repartait.

Hein ?
J'ai demandé des notes explisves ici ? ...
N'importe quoi moi des fois ...

Meshiroi se remit au comptoir devant son élève.

Bon aller, va pour celles là. Alors les Kunais de la meilleur facture, plus les sandales, en tout ça fait 1 700 Ryos. Les voici alors.

Meshiroi sortit son porte monnaie, bien dissimulé dans un parchemin d'invocation niveau 1, qui lui même est dans une des poches de la veste jounin.

J'aurais put demander un rabais ... Mais bon vu ce qu'il m'a expliqué, il ne vaudrait mieux pas pour lui .. Il lui faut 800 Ryos. Laissons le travailler correctement.

Bon et bien on y va.

..
A oui ! Sanosuke, j'ai récuperé quelques petits trucs à Taki, on pourra fêter ça !

Rendez vous à l'entraînement de demain !

Meshiroi et Bunshichi s'en allèrent, c'est à ce moment précis que Sanosuke remarqua la titanesque.. chose.. que Bunshichi portait dans son dos. Quelque chose de gros et enroulé de bandelettes.

Direction le magasin de Calligraphie d'Iwa

Meshiroï-sama venais de quitter la boutique, je vérifiait une dernière fois que le compte y était avant de mettre l'argent de la caisse. Avec un lèger sourire je me dit que les prochains clients ne se ferraient pas attendre. Je décidait donc pendant ce temps de ranger un peu le magasin, les articles n'étaient pas mit en valeur en fonction de leur prix, il fallait attirer l'oeil du client et qui sait si je fessai gagner pleins d'argent à la boutique j'aurais peut être droit à une prime ?

Cette simple pensé me motiva, je décidait donc de ranger un peu les rayons, mon travail n'avait rien de colossale, mais je devais ranger les articles avec intelligence, les plus achetés correctement mit en évidence et les objets ayant moins de succès légèrement en retrait, de toute façon si un client venait chercher un article bien précis il s'adresserait au vendeur et ne perdrait pas son temps dans les rayons.

Par la suite je fit plusieurs fois le tour, histoire de connaitre par coeur l'emplacement des objets, pour que quand le prochain client se pointerait je sois plus efficace...

Je continuais donc mes aller-venus attendant l'arrivé d'un client...

Si Kuma n'avait pas eu une saccoche ninja pour mettre ses achats dedans, il n'aurait pas fait plus de trois mètres sans casser quelque chose en sortant du magasin de son papa. Les seules choses qu'il transportait à main nues étaient les mets d'Okiwa. A présent, il ne lui restait plus qu'une escale à faire.
Il poussa les portes de l'armurerie, repnsant une dernière fois à tout ce qu'il fallait qu'il demande à l'armurier. Mais alors, il apperçut une tête familière derrière le comptoir.

"San-san! Tu bosses ici?? Je le crois pas!"

Il s'avança jusqu'à lui, et posa ses sacs en kraft.

"Tu as décidé de te faire des sous en tant que stagiaire? C'est pas bête, j'aurais dû y penser... quoi que je suis pas sûr que mon père serait prêt à me filer des sous en plus rien que pour l'aider à passer un coup de balais.

C'est cool de te voir, mais je suis plutôt pressé. J'ai fait beaucoup de shopping, et je suis crevé, j'ai une sacrée dalle. Voilà ce dont j'ai besoin:
Une saccoche ninja, un grand havre-sac, une dizaine de shuriken, autant de makibishi, et trois doubles-kunais.
Maintenant que je suis chuunin, on risque de me demander de partir en missions longues et ennuyeuses, donc je fais le plein de petites choses utiles. Tu peux me filer tout ça, s'il te plaît?"

Ca lui faisait bizarre de voir ce Sano de l'autre côté d'un comptoir. Mais d'un autre côté, c'était fun de se faire servir par quelqu'un qu'il connaissait.
Pendant que l'armurier en herbe s'agitait pour lui décrocher ses shurikens, il reprit:

"Dis, ça fait un bout de temps que j'ai pas vu Kitari. Tu sais ce qu'il devient?"

J'étais en train de m'endormir derrières ce comptoir, mes paupières devenait étrangement lourde devant le peut d'activité, mais tout à coup j'entendis le "ding-dong" caractéristique de magasin signifiant qu'un nouveau client arrivais. Je frottais alors vigoureusement mon visage pour me réveille avant d'afficher un sourire niais qui étais tout à fait explicable en voyant qui se tenait devant moi. C'était Kuma. J'étais plus qu'étonner de son apparition et je lui tendis alors ma main devant sa face d'ahuri.

Ben il faut bien se résigner à bosser pour se faire un peu de sous.

Après quelques échanges polit de paroles Kuma énonça ces demandes, j'écoutais avec attention. Je me mit alors à la recherche de tout ces articles lorsque Kuma me demanda des nouvelles de Kitari, avec un léger sourire gêné je répondais que je n'en avais aucune idée. Au bout de quelques secondes j'avais tout les articles que Kuma demandait et je les posaient alors sur la table. Je me mit alors à calculé à haute voix.

Alors, une saccoche 40 yens, un grand sac ça fait 150 yens, dix shurikens 50 yens, dix makibishi 50 yens aussi et trois doubles Kunaï ça fait 200 yens. Donc tu me dois : 490 yens.

Bonne chance pour tes missions.

J'attendis qu'il dépose la monnaie sur le comptoir ou bien qu'il poursuive la conversation.

"Héhé! Merci. A présent, je pense pas que je manquerais de grand-chose, elles devraient bien se passer."

Kuma sortit son portefeuille, et tendit à Sano un billet de 500 yens. Une fois que Sanosuke lui eut rendu la monnaie, il ouvrit son nouveau havre-sac et fourra toutes ses courses dedans.

"Ca va être un peu moins dur à transporter comme ça.
Il parraît que le nouveau Tsuchikage va faire un discours demain. Tu vas y aller?"

L'énorme vit alors son ami le mort-vivant acquiesser avec une expression plus ou moins mal à l'aise.

*Tiens... lui aussi est atteint du même syndrome que les anciens clients d'Okiwa... bah, ça lui passera. Après tout, on est en paix, je vois mal comment ça pourrait aller mieux.*

Kuma ne put malheureusement pas continuer la conversation plus longtemps. Il avait à faire... en fin plus éxactement, il avait faim. Mais était-ce utile de le préciser...

"Faudra qu'on s'entraîne un de ces quatre. Merci pour tout San-san! A une prochaine.
Oh, et puis file le bonjour à Keiko!"

Il lui fit un ultime signe de la main, puis poussa les portes de l'armurerie pour rentrer chez lui. Il n'avait pas ressenti la même chose avec Sanosuke qu'avec Okiwa lors de sa sortie; peut-être qu'il savait que leurs liens ne disparraîtraient pas de sitôt s'il avait à partir, alors que les nouilles d'Okiwa viendraient tôt ou tard à manquer.

Le fait d'avoir trouvé une caisse contenant seize billets de 500 ryos dans sa boîte aux lettres ce matin avait mit un coup d'accélérateur dans son projet de faire une grande séance de shopping. Mais théoriquement, il n'était pas dans le besoin immédiat d'acheter tant de choses utiles pour les longues missions. Kuma se demandait vraiment d'où venait ce pressentiment qui l'avait poussé à faire tous ces achats. Peut-être que c'était parce que les chiffres qu'il avait joués au loto étaient ceux qui étaient taggés partout dans la ruelle du caméléon, et que cette ruelle avait une réputation pour être maudite...
*4 8 15 16 23 42*
En tout cas, une chose était sûre: ce qu'il avait acheté pouvait toujours servir.

[-490 ryos, + mon matos.]

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